Expositions pour les vente « Les collections Aristophil » du 16 au 20 juin 2018
Expositions pour les vente « Les collections Aristophil » du 16 au 20 juin 2018 Paris Drouot-Richelieu salle 9
Expositions pour les vente « Les collections Aristophil » du 16 au 20 juin 2018 Paris Drouot-Richelieu salle 9
Vente « Aristophil » le mercredi 20 juin 2018 à Drouot-Richelieu. Wolfgang Amadeus Mozart.
Veuillez lire l’article ci dessous pour mieux comprendre la personnalité de Marino Massimo De Caro « Le faussaire qui aimait trop Galilée »
« La Divine Comédie » a disparu … Où sont passés les milliers d’ouvrages qui faisaient la fierté de la Bibliothèque de Naples ?
Pendant des mois se sont affairés un directeur escroc, un curé intégriste, une étrange Ukrainienne, des conseillers de Berlusconi et… un chien.
C’est l’une des plus belles et des plus anciennes bibliothèques du monde. Nichée au coeur de Naples, immense et somptueuse, avec ses interminables rayonnages de bois grimpant jusqu’au plafond. (suite…)
Sympa l’info … Merci
Une histoire, passionnante, extraordinaire… Bernard Leborgne, fantastique… et Paul Veyssière…
Le film « Le faussaire qui aimait trop Galilée », de Laurent Bergers et Paul-Henri Moinet, sera diffusé sur France 5 dimanche 29 avril 2018 à 9h25.
Comment Massimo De Caro a-t-il réussi à tromper le monde du livre rare avec une copie remarquable d’un manuscrit de Galilée ? Jusque-là, personne n’avait réussi à reproduire la typographie d’un ouvrage aussi ancien. Récit d’une imposture.
Dans le monde du livre rare, il y a eu un avant et un après De Caro. En 2005, ce « collectionneur italien » vend à Richard Lan, un des grands experts américains en livres anciens, un exemplaire du rarissime Sidereus nuncius (traduit en français sous le titre Le Messager des étoiles) de Galilée, publié en 1610. Extraordinaire exemplaire, signé de la main de l’auteur, et illustré de quatre illustrations originales peintes et signées par lui !
(suite…)Nocturne au Salon du Livre rare au Grand Palais du 13 au 15 avril 2018 : pendant 3 jours, la Grande Nef du joyau parisien se transforme en immense librairie et nous propose de découvrir les plus beaux ouvrages et manuscrits.
Triste nouvelle : Décès de Yannick Nexon, chef du département de la Réserve, Bibliothèque Sainte-Geneviève. Décédé le 1 février 2018
Né en 1953, Yannick Nexon sort major de l’École nationale des chartes de la promotion 1976 avec une thèse portant sur « Le mécénat du chancelier Séguier. Recherches sur un hôtel parisien au xviie siècle, l’activité d’un cercle littéraire et religieux et son influence (1588-1672) ». Il avait repris et augmenté ce travail, très utilisé par les historiens d’art, pour donner un ouvrage publié aux éditions Champ Vallon en 2016 sous le titre Le Chancelier Séguier (1588-1672). Ministre, dévot et mécène au Grand Siècle. Ouvrage qui obtint le Prix Thiers de l’Académie française.
Yannick Nexon débute sa carrière comme conservateur à la bibliothèque municipale de Lille, en 1977.
Il est ensuite conservateur à la bibliothèque de l’Académie de France à Rome, en 1978, puis à la bibliothèque municipale de Dijon, en 1980. En 1982, il devient directeur de la bibliothèque centrale de prêt de la Loire-Atlantique.
(suite…)La nouvelle réglementation antiterroriste de l’UE visera les bibliophiles. Si la nouvelle réglementation de l’Union européenne est proposées et approuvés, les collectionneurs de livres européens et les revendeurs peuvent être dans une surprise ennuyante quand ils font leurs premiers achats importés en 2019.
Si un livre, une gravure, un tirage, un document ou une publication d’intérêt spécial datant de plus de 250 ans est importé dans un État membre de l’UE, le propriétaire ou le «détenteur des marchandises» devra présenter une déclaration d’importateur signée aux autorités douanières du pays d’entrée. La déclaration doit inclure une déclaration que les livres ont été initialement exportés légalement de leur pays d’origine. Toutefois, dans les cas où le pays exportateur (distinct du pays d’origine) est une « Partie contractante à la Convention de l’UNESCO sur les biens culturels », le titulaire des livres doit fournir une déclaration attestant qu’il a été exporté de ce pays conformément aux ses lois et règlements. Il va sans dire que si la proposition précise des livres et des documents d ‘ »intérêt particulier », elle ne donne aucun critère plus explicite pour définir ce que cela signifie et la notion d’ « intérêt particulier » est suffisamment vague et subjective pour inclure : en pratique, pratiquement n’importe quel livre que quelqu’un pourrait vouloir importer.
Extrait exposition et vente : LES COLLECTIONS ARISTOPHIL • 1 • VENTE INAUGURALE. Mercredi 20 Décembre 2017 Drouot-Richelieu.
Depuis maintenant plus d’un an, la maison Aguttes joue un rôle de coordinateur dans le cadre du dossier Aristophil, dont elle a la charge de l’inventaire, de la restitution et de la planification des ventes. Plus de 130 000 oeuvres constituent le fonds Aristophil. L’ensemble de la collection a été trié, inventorié, authentifié, classé et conservé dans des conditions optimales, en ligne avec les normes de la BNF. C’est aujourd’hui la plus belle collection de manuscrits et autographes au monde compte tenu de la rareté et des origines illustres des oeuvres qui la composent.
Bibliothèque de Pierre Bergé. troisième vente. » De la musique avant toute chose… » Musiciens et poètes. Pierre Bergé & associés – En association avec Sotheby’s. Mercredi 28 juin 2017 à Drouot-Richelieu. Cette fois-ci, ce n’est plus seulement l’esthète et le bibliophile, c’est le mélomane et l’amateur de poésie qui se sépare de sa collection. Cette troisième vacation s’ouvre par un choix de partitions et livrets qui va de Purcell à Wagner (avec ses Meistersinger annotés) en passant par Bach, Beethoven, Haydn ou Debussy, et trouve un prolongement idéal dans la deuxième partie consacrée à la poésie : Dante, Villon, les Amours de Ronsard, Le Tasse, Pétrarque, mais aussi Apollinaire, Mallarmé, Reverdy, les surréalistes…
Que ferons-nous de nos bibliothèques ? ? ?
Je viens de ressentir pour la première fois l’angoisse des intellectuels dès qu’ils comprennent qu’ils mourront un jour : qu’arrivera-t-il à leur bibliothèque ? Qui en voudra ? Qui la comprendra ? Qui comprendra les milliers de petits émerveillements à l’origine de tel achat, de tel passage souligné, de tel signet oublié ? Que se passe-t-il si nos enfants n’en veulent pas ? Faudra-t-il la disperser, la vendre, la liquider ? Et que se passera-t-il si quelqu’un tombe, par hasard ou non, sur les livres que nous dissimulions en deuxième rangée, et que nous ne montrions qu’aux amis les plus intimes, qui peuvent comprendre ce qu’on y trouve ? Car il y a des livres qu’on lit sans l’avouer, puisque les valeurs de l’époque les réprouvent ou les condamnent C’est fou comme on se dévoile, d’ailleurs, quand on laisse quelqu’un entrer dans sa bibliothèque ! (suite…)