MIRBEAU (Octave). Les Affaires sont les affaires. Comédie en trois actes représentée pour la première fois à la Comédie-Française le 20 avril 1903. Paris, Bibliothèque-Charpentier, Eugène Fasquelle, 1903. In-12, demi-maroquin fauve avec...
Estimation :
600 - 800 €
Adjudication :
Invendu
Description
coins, dos à nerfs soulignés de filets à froid et portant le titre doré, tête dorée, non rogné, couverture (Reliure de l’époque).
Édition originale.
ENVOI AUTOGRAPHE DE L’AUTEUR à Frantz Jourdain (1847-1935), décorateur et architecte dont la réalisation la plus remarquable est celle de La Samaritaine construite de 1905 à 1907.
Celui-ci eut avec Mirbeau une longue et orageuse amitié : ayant des idées proches et des tempéraments combatifs, ils étaient voués à se heurter par moments, et à être au coude à coude dans d’autres (cf. Paul-Henri Bourrelier, La Revue Blanche, 2007, p. 954).
─ On a monté en tête du volume
• UNE L.A.S. DE MIRBEAU À SON AMI PAUL HERVIEU (2 pages in-12, enveloppe jointe), dans laquelle il réconforte son ami qui vient d’essuyer un refus pour un article : Si vous saviez dans quelle perpétuelle inquiétude je vis, dans quel dégoût ! mais vous le savez, vous souffrez du même mal que moi ; et par conséquent vous devez compatir plus qu’aucun autre. Vous êtes toujours le meilleur et le plus réconfortant des amis et vous avez l’ingéniosité la plus tendre à me rassurer sur moi-même [...]. Mon cher Hervieu, vous avez un grand talent, et un grand talent que vous ne devez à personne [...].
─ De la bibliothèque du
• Colonel Sicklès (1994, n°7507).
─ Ex-libris
• Hubert Heilbronn.
Papier jauni. Petits frottements à la reliure.
Édition originale.
ENVOI AUTOGRAPHE DE L’AUTEUR à Frantz Jourdain (1847-1935), décorateur et architecte dont la réalisation la plus remarquable est celle de La Samaritaine construite de 1905 à 1907.
Celui-ci eut avec Mirbeau une longue et orageuse amitié : ayant des idées proches et des tempéraments combatifs, ils étaient voués à se heurter par moments, et à être au coude à coude dans d’autres (cf. Paul-Henri Bourrelier, La Revue Blanche, 2007, p. 954).
─ On a monté en tête du volume
• UNE L.A.S. DE MIRBEAU À SON AMI PAUL HERVIEU (2 pages in-12, enveloppe jointe), dans laquelle il réconforte son ami qui vient d’essuyer un refus pour un article : Si vous saviez dans quelle perpétuelle inquiétude je vis, dans quel dégoût ! mais vous le savez, vous souffrez du même mal que moi ; et par conséquent vous devez compatir plus qu’aucun autre. Vous êtes toujours le meilleur et le plus réconfortant des amis et vous avez l’ingéniosité la plus tendre à me rassurer sur moi-même [...]. Mon cher Hervieu, vous avez un grand talent, et un grand talent que vous ne devez à personne [...].
─ De la bibliothèque du
• Colonel Sicklès (1994, n°7507).
─ Ex-libris
• Hubert Heilbronn.
Papier jauni. Petits frottements à la reliure.
