COLETTE. - La Retraite sentimentale. Bruxelles, Éditions de la Chimère, 1922.
Estimation :
600 / 800
Adjudication :
600 €
Description
In-12 (178 x 132 mm), veau gris, décor floral ciselé et mosaïqué de veau rouge et blanc sur le premier plat, dos lisse muet, doublures de soie brochée de fils d'argent ornées de listels mosaïqués de veau rouge et gris, gardes de même soie, tranches dorées, couverture, emboîtage de toile moderne (Jeanne Bézier).
► Édition illustrée de compositions en bistre de Robert BONFILS.
Tirage à 1000 exemplaires numérotés, celui-ci un des 150 sur vergé d'Arches (n°122).
► Belle reliure florale de Jeanne BÉZIER (non signée).
→ Jeanne Bézier a participé à l'exposition des Arts décoratifs de 1925, comme en témoigne un élogieux article du Figaro artistique du 9 juillet 1925 :
« Sans aucune application de fers, uniquement par un ingénieux travail du cuir, un sens très sûr des coloris opportuns, Mme J. Bézier nous a montré ce qu'un goût très raffiné et un sentiment artistique très prononcé lui ont suggéré l'idée de faire, ce qu'une patience extrême et une habileté incontestablement très grande lui ont permis de réaliser. [...]
On peut dire que ce sont des œuvres uniques que celles qu'elle nous a offertes et ce n'est pas un mince mérite que d'avoir imaginé et réalisé un genre nouveau, une technique originale qui entre autres qualités, a celles de donner à l'œil l'impression agréable d'un heureux relief ».
Ernest de Crauzat la cite parmi les jeunes femmes qui ont travaillé au côté de grands artistes comme Legrain, Dunand, Schmied ou Bonfils.
Fléty la mentionne parmi les « amateurs ayant participé à des expositions entre 1919 et 1939 ».
Crauzat, II, 162 et 177 – Fléty, 181.
► Édition illustrée de compositions en bistre de Robert BONFILS.
Tirage à 1000 exemplaires numérotés, celui-ci un des 150 sur vergé d'Arches (n°122).
► Belle reliure florale de Jeanne BÉZIER (non signée).
→ Jeanne Bézier a participé à l'exposition des Arts décoratifs de 1925, comme en témoigne un élogieux article du Figaro artistique du 9 juillet 1925 :
« Sans aucune application de fers, uniquement par un ingénieux travail du cuir, un sens très sûr des coloris opportuns, Mme J. Bézier nous a montré ce qu'un goût très raffiné et un sentiment artistique très prononcé lui ont suggéré l'idée de faire, ce qu'une patience extrême et une habileté incontestablement très grande lui ont permis de réaliser. [...]
On peut dire que ce sont des œuvres uniques que celles qu'elle nous a offertes et ce n'est pas un mince mérite que d'avoir imaginé et réalisé un genre nouveau, une technique originale qui entre autres qualités, a celles de donner à l'œil l'impression agréable d'un heureux relief ».
Ernest de Crauzat la cite parmi les jeunes femmes qui ont travaillé au côté de grands artistes comme Legrain, Dunand, Schmied ou Bonfils.
Fléty la mentionne parmi les « amateurs ayant participé à des expositions entre 1919 et 1939 ».
Crauzat, II, 162 et 177 – Fléty, 181.
