Catalogue de vente du 18 septembre 2016
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Kapandji Morhange
164.
LE GENTLEMAN D’EPSOM.
Louis de Funès et Jean Lefebvre dans le film de Gilles Grangier (1962).
Épreuve argentique d'époque (18×24 cm) attribuée à Marcel DOLE.
Voir la reproduction.
150 / 200 €
165.
LES TONTONS FLINGUEURS.
Sabine Sinjen et Lino Ventura dans le film de Georges Lautner (1963).
Épreuve argentique d'époque (17×23 cm) attribuée à Jean-Louis
CASTELLI. Tampon de la production au dos.
Voir la reproduction.
150 / 200 €
162.
LE BOULANGER DE VALORGUE.
Fernandel dans le film d’Henri Verneuil (1953).
Épreuve argentique d'époque sur papier cartoline (23×29,5 cm, marge
comprise) attribuée à Gaston THONNART.
Voir la reproduction.
150 / 200 €
163.
VOICI LE TEMPS DES ASSASSINS.
Jean Gabin et Danièle Delorme dans le film de Julien Duvivier (1956).
Épreuve argentique d'époque (24×18 cm) attribuée à Roger
CORBEAU (1908-1995).
Voir la reproduction.
150 / 200 €
– carte autographe signée de Madame René Tapissier à Monsieur
Seurre-Lacam : «
n’ayant pu voir Monsieur Lacam, hier soir tient à lui
dire qu’elle a été parfaitement satisfaite de son dîner
. » Avec enveloppe
adressée à «
Monsieur Seurre-Lacam, Au Puits certain, 40 bis rue Saint
Jacques, Paris
». Encre violette.
– carte autographe signée de Monsieur Lieber des « Fausses reposes »
à Ville d’Avray adressée à Monsieur Seurre Lacam, 40 bis rue Saint
Jacques : «
Je viens vous prier de me faire savoir si vous avez actuellement
sous la main un chef, jeune et honnête, débutant en place, tel que vous
savez devoir convenir pour moi […] Si vous avez une bonne cuisinière, je
la prendrai aussi bien
. »
– L.A.S de Madame G. Villez à Madame et Monsieur (?) du 4 octobre
1910.
2 ff. pliés en deux, encre noire.
Nous supposons que Pierre Lacam a racheté le magasin des Villez
à Paris près de du Panthéon. Malheureusement, le commerce ne
fonctionne pas comme avec ses prédécesseurs : «
votre lettre m’a
absolument stupéfiée. Voilà environ 7 mois que je vous ai vendu ma maison
de commerce et aujourd’hui vous vous plaigniez dans des termes ambigüs
des affaires […] Tout le monde sait que lorsqu’un commerçant vend son
fonds, il lui est impossible d’assurer à son SSeur [successeur] qu’il fera le
même chiffre d’affaires que lui […], cette thèse est si logique que la loi n’a
prévu la garantie du chiffre d’affaires qu’exclusivement pour la vente des
fonds de boulangerie. […] Quant aux écoles du quartier latin je vous ai
dit […] que j’avais fourni antérieurement la plupart de ces établissements
[…]. Je vous ai fait obtenir la clientèle du Lycée Henri IV que vous avez
toujours. Le lycée Saint Louis que vous n’avez pas su garder. Quant à
Polytechnique, vous n’avez pas voulu fournir et pour ce qui est de Ste
Barbe vous avez préféré attendre, etc, etc,… […]
Si vous aviez apporté
un peu plus de soin à la cuisine, vous n’auriez pas perdu quelques
bons clients
qui m’ont avisé par lettre que je garde précieusement, en
outre, quand l’on prend une maison de commerce on n’en change pas les
habitudes du jour au lendemain. »
– Cartes autographes signées et L.A.S de félicitations pour la naissance
de leur fils Pierre adressées à M. et Mme Seurre.
– 2 cartes de visite de Monsieur et Madame Seurre-Lacam
– 1 carte de visite d’Auguste Briant à Londres.
– 1 carte de visite de Guéry-Gomiot, 60 rue de Rennes, Paris, Spécialité
de dîners à forfait.
Paul Seurre est le gendre de Pierre Lacam et ont publié ensemble
Le nouveau mémorial de la pâtisserie et des glaces, concernant
3500 recettes de pâtisserie fine et ordinaire.
Soit 16 pièces.
80 / 120 €
158.
[
Pierre Lacam
] [
Académie de Cuisine
]. Beau souvenir de
l’Union Universelle pour le Progrès de l’Art Culinaire, crée en 1878
par Joseph Favre.
La section française, l’Académie Nationale de Cuisine Française,
future Académie de Cuisine, décerne le 3/10/1898 les palmes «
en
vermeil
», à Monsieur Pierre Lacam
« pour le zèle qu’il apporta au buste
de E. Bernard
».
Grand admirateur d’Émile Bernard, Lacam exalta sa mémoire en
gérant une souscription pour lui ériger un buste en sa mémoire.
On trouve entre autres les signatures de grands cuisiniers de l’époque
à l’instar de
Gustave Garlin
(1828 – 1923), celles de son Président,
O. Bichot, son secrétaire général, F. Grandi, Roque et Bardonneau.
Cachet de l’Université de l’Art Culinaire – Comité général apposé en
bleu sur ce carton sur peau de vélin, au format d’un faire-part.
Voir la reproduction.
200 / 300 €
159.
[
New-York Club
] [
Pierre Lacam
].
Pièce montée en sucre. Renne
tirant un traîneau surmonté d’une cloche.
Sur la cloche cartel portant la mention : «
Traîneau Fantaisie Modelé. À
mon ami P. Lacam.
[illisible].
New-York Club
. »
Sous le renne, un récipient portant la mention «
New York Club
[illisible]
»
Photographie d’époque contrecollée sur papier fort, au crayon à papier
mention «
New York Club 35th & 5th Ave
».
16,8×21,8 cm.
100 / 150 €
160.
[
Alliance franco-russe
].
Pièce montée illustrant l’alliance fran-
co-russe.
Photographie d’époque contrecollée sur carton. Circa 1893.
23×16,7 cm.
Plis cassés et déchirures en bas à droite.
Voir la reproduction.
100 / 150 €
161.
[
Paul Seurre
]. L.A.S. de Monsieur P. Villez à Monsieur Paul
Seurre, gendre de Pierre Lacam.
1 f. plié en deux, encre noire.
«
Cher Monsieur, je vous adresse ci-joint deux recettes dont j’aime à croire
voius serez bien aisé à connaître. C’est 1
er
: le porc frais mariné moscovite ;
2
e
: oreilles de veau farcies. »
Il est joint :
Le 7
ème
Art s’invite à table
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