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529.
MARET Hugues duc de Bassano (1763-1839).
L.A.S. «
le duc de Bassano
», 6 septembre 1832, 1 p., in-4.
80/100 €
530.
MARTIGNAC Jean-Baptiste de (1778-1832).
L.A.S. «
Martignac
», adressée à Monsieur Arbanère, Paris, 6 octobre 1831, 1 p. ½ , in-4.
On y joint une autre L.S. et plusieurs copies de lettre du même auteur.
60/80 €
Lettre dans laquelle il le remercie du dévouement qu’il lui a témoigné.
531.
MONTAIGU Marquis de
(1790-1846)
, officier d'ordonnance puis Chambellan de Napoléon I
er
.
Deux L.A. du 9 avril 1816 et du 27 avril 1817, adressées à la marquise de MONTAIGU son épouse, au château
de la Chaise, et en son hôtel à Paris. 2 ½ p., et 3 p., in-8. Adresse et marques postales.
200/300 €
Lettres politiques d'un vif intérêt sur les événements de l'époque. L'une évoque avec une grande franchise la situation des diverses factions
royalistes, orléanistes, jacobins, et bonapartistes. La seconde donne un récit très détaillé et très vivant des événements qui ont causé la
dissolution de la Compagnie des Gardes du Corps :
« … j'ai vu le Roi lundi ; il est horriblement changé ; il a perdu tout à fait l'usage des jambes ; la moindre
crise de goutte sera fâcheuse. Il travaille peu et ne fait que signer les différentes ordonnances qu'on lui présente. J'ai été surpris de la solitude de la Cour...
» - «
La
compagnie des Garde du Corps de Noailles est dissoute depuis hier : le duc de Mouchy est parti pour Versailles et l’effet de la reformer … voilà le duc d’Harvé au
désespoir, et le roi, comme de raison fort mécontent …
»
Voir la reproduction en page 6 de la plaquette
532.
MONTEBELLO Louis-Napoléon Lanne duc de (1801-1874).
L.A.S. «
Duc de Montebello
», adressée à l’un de ses collègue, 25 juillet 1847, 1 p., in-4, sur papier à en-
tête imprimé du ministère de la Marine et des Colonie – Cabinet du ministre.
On y joint une L.S. «
Duc de Montebello
», adressée à Messieurs les questeurs de la chambre des Députés, Paris, 28
avril 1839, 1 p. ½, in-folio, sur papier à en-tête imprimé du ministère des Affaires Etrangères – Direction des
Archives & Chancelleries.
150/200 €
«
Messieurs, … M. le Cte Molé vous a informés qu’il avait communiqué aux ministres du roi à Dresde et à Stuttgart, la proposition relative à l’échange des documents
parlementaires entre la chambre des Députés de France et celle de Saxe et de Wurtemberg…
»
533.
MONTALIVET Camille comte de (1801-1880).
L.S. «
Montalivet
», adressée au baron Bignon, Pair de France, Paris, 30 octobre 1837, 1 p. ½ , in-folio, sur papier
à en-tête imprimé du Cabinet du ministère de l’Intérieur.
On y joint une autre L.A.S. «
Bignon
», adressée au comte de Montalivet, Paris, 27 octobre 1837, 1 p. ½, in-folio.
100/150 €
Lettre relative à une élection aux Andelys.
534.
MONTALEMBERT Charles comte de (1810-1870).
L.A.S. «
Montalembert
», Paris, 29 avril 1865, 1 p., in-8.
On y joint une autre L.A.S. «
Le Cte Ch de Montalembert
», adressée à Monsieur Lecoffre, Paris, 13 novembre 1831,
2 p. ½, in-folio.
120/150 €
535.
MONTESQUIEU Charles de Secondat, baron de (1689-1755).
B.S., «
Montesquieu
», adressé à
Monsieur de La Beaumelle (1726-1773), Paris, un samedi, ½ p., in-8.
150/200 €
« Il m’est impossible de sortir ; cependant jaurois bien de choses à dire, et importantes à Mr de Labeaumelle. S’il pouvait venir prendre une tasse de thé ou de café chez
moy nous pourrions parler ensemble. Je l’embrasse de tout mon cœur. »
Voir la reproduction en page 6 de la plaquette
536.
MONTESQUIOU-FEZENSAC Antoine (1788-1867).
L.A.S. «
Gal Montesquiou
», Paris, 13 juillet 1846, 1 p., in-8.
80/100 €
« après avoir égaré pendant longtemps la lettre que vous m’avez fait l’honneur de m’écrire au sujet de ma traduction d’un poète célèbre et cependant peu connu, je viens de
la retrouver, et je ne diffère plus à vous répondre…. »
537.
MONTGAILLARD Maurice (1761-1841)
, fameux espion et aventurier. Louis XVIII s’en servit pour
préparer la trahison de Pichegru.
L.A.S. «
Mce Montgaillard
», Passy, 26 juillet, adressée à Eugène de Monglave (1796-1873), 2 p., in-folio.
200/300 €
« Vous avez peut-être, monsieur et honorable collègue, calomnié déjà mon absence ; mais dans ce cas vous ne rendriez pas justice à l’estime dont je fais profession et à sa
reconnaissance que je conserverais toujours à l’institut, pour l’honneur que l’on a fait en admettant au nombre de ces membres : mais vous êtes juste ; vous vous
rappelleriez ma réponse à la première lettre que vous me fîtes l’honneur de m’écrire il y a quatre mois ; elle vous exprimait avec une sincérité entière, combien là j’ai la