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150.
TREILHARD Jean-Baptiste comte de (1742-1810).
Membre du Directoire de mars 1798 au 18 juin 1799.
L.A.S. «
Treilhard
», du 29 août 1790, adressée à M. Palloy (Pierre-François (1755-1835)), entrepreneur de la
démolition de la Bastille et grenadier volontaire de la 1ére division, adresse manuscrite au dos et cachet de cire
noir, 1 p., in-4
.
80/100 €
« C’est avec bien de l’empressement que je me rendrai a votre invitation si les travaux de l’assemblée et des comités me laissaient des moments de libres. Agréez je vous
prie mes remerciements très sincères de la manière obligeante dont vous avez bien voulu penser, j’en suis très reconnaissant et vous supplie de me croire votre très humble et
très obéissant serviteur. »
CHEFS D’ÉTAT FRANÇAIS
DE LA II
ème
RÉPUBLIQUE
151.
ARAGO François (1786-1853),
membre de la Commission exécutive de 1848.
L.A.S. «
F. Arago
», 1 p., in-folio.
100/150 €
«
En montrant du doigt l’épithète d’illustre appliquée à Kléber, l’Empereur dit à notre confrère : Quelqu’un m’a fait remarquer ce mot : mais après une très petite pause,
Napoléon ajouta : il est entendu, un fourrier, que vous le laisserez, ce mot, car il est juste et bien mérité ! Les paroles, messieurs, honoraient encore moins le monarque,
qu’elles ne flétrissaient les courtisans dont toute la vie dépasse à épier les faiblesses, les mauvaises passions de leurs maîtres, pour s’en faire le marchepied qui soit les
conduire aux honneurs et à la fortune. (Passage de l’éloge de fourrier)
». On y joint également une L.A.S. «
F. Arago
» où il écrit à l’aveugle.
152.
CAVAIGNACLouis Eugène (1802-1857),
général et chef du pouvoir exécutif du 28 juin au 6 décembre 1848.
L.A.S. «
Cavaignac
», adressée à Monsieur le Rédacteur du Moniteur…, 2 ½ p., in-8.
120/150 €
«
On me communique votre article de ce jour. Je donne un démenti public à quiconque avoir entendu prononcer par moi une seule parole qui ne fut pas emprunte de plus
profond respect pour la loi fondamentale du pays. Je donne démenti public à quiconque prétendrait m’avoir entendu dire directement ou indirectement que je …jamais dès
qu’on a…et mon épée ce février de celui qui après avoir…de la constitution du pays compterait une considération par cette constitution
. ».
153.
CAVAIGNAC Louis Eugène (1802-1857),
général et chef du pouvoir Exécutif du 28 juin au 6 décembre
1848.
Lettre adressée à un ami Stanislas, 2 p., in-8.
80/100 €
«
Ceci me parait faisable. Je vous serais obligé de le faire, mais surtout faits le vite (…)
»
154.
DUPONT de L’EURE Jacques Charles (1767-1855),
président du gouvernement provisoire du 25
février au 4 mais 1848.
L.A.S. «
Dupont
», 11 août 1844, 1 ½ p., in-8.
100/150 €
«
Monsieur. J’ai reçu le drap que vous avez eu l’obligeance de me procurer et la lettre toute gracieuse que vous avez bien voulu y joindre. Je vous en remercie de tout mon
cœur et je vous prie de croire que de mon coté je saisirais avec bien du plaisir l’occasion de vous être agréable. Ma fille qui se rend aujourd’hui même à l’aimable
invitation de Madame Souty vous remettra les 59f que je vous dois. Nous le chargeons aussi sa mère et moi d’être auprès de vous et de vos dames l’interprète de nos
sentiments les plus affectueux et les plus distingués.
».
155.
GARNIER-PAGES Louis (1803-1878),
membre de la Commission exécutive (1848).
L.A.S. «
Garnier-Pages
», adressée à un ami Laurent Pichat, à Paris, 22 Janvier 1862, 1 p., in-8.
100/150 €
«
Je vous adresse mes compliments sincères sur votre avis au Lecteur, qui commente si bien la Réforme Littéraire. J’en adopte toutes les pensées depuis la première ligne
jusqu’à la dernière. J’ai grand espoir pour le succès : l’article de Crémo Trazo est charmant et tous les autres suivent parfaitement bien. Voilà un excellent 1
er
Numéro
»
156.
LAMARTINE Alphonse de (1790-1869), LEDRU ROLLIN Alexandre Auguste (1807-1874),
GARNIER PAGES Louis Antoine (1803-1878), BLANC Louis (1811-1882), GRÉMIEUX Adolphe
(1796-1880), MARIE Alexandre Thomas (1797-1870),
membres du gouvernement provisoire de 1848.
Pièce autographe signée par tous les noms cités ci-dessus, datée du 25 Février 1848, 1 p., in-folio, intitulée «
Au
nom du peuple français, le gouvernement provisoire arrête le commandant supérieur du train d’artillerie, mettre à la disposition du
directeur de la manutention, les équipages … au transport du pain. »
150/200 €
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