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194.

[SOULT Nicolas Jean de Dieu,

duc de Dalmatie [Saint-Amans-la-Bastide, 1769 - id., 1851], maréchal de France].

Biographie manuscrite du maréchal Soult, de la main du colonel de Pierre-Albert de Joinville [Paris, 1806-1885],

colonel d’état-major et historien militaire.

Manuscrit autographe signé. 1841-1861 ; 109 pages in-4°.«

Étude biographique, militaire, politique et morale

sur le Maréchal Soult, Duc de Dalmatie

». L’essentiel du manuscrit concerne la carrière militaire du maréchal,

pendant la

Révolution et l’Empire :

— 16 pages résument le début de sa carrière, de 1793 (avec Hoche), à 1808 (à Berlin).

— 57 pages relatent les campagnes de Soult en Espagne et au Portugal.

— 15 pages traitent de la campagne d’Allemagne en 1813 et du retour de Soult à la frontière espagnole

jusqu’à la bataille de Toulouse.

— 21 pages concernent la 1

ère

Restauration, les Cent-Jours, la 2

e

Restauration et l’exil, puis le retour aux affaires

après la Révolution de Juillet et la présidence du Conseil.

Intéressante étude, inédite, d’un bon observateur militaire, familier du maréchal pendant la Monarchie de

Juillet.

300/500 €

195.

THÉÂTRE — AUTEURS DRAMATIQUES.

Lots de lettres d’auteurs dramatiques. 55 pièces.

Maurice Allou (1881-1921), las de 1914 à H Bidou au sujet de sa comédie « Le Fumeur ». Henri Amic (1853-1929),

las de 1894 concernant sa pièce, « Une Vengeance ». Virginie Ancelot (1792-1875), 1 las de 1838. Paul Armont

(Russie, 1874-1943), ca. Gaston Auvrard, las de 1908. Augustin Aynard (1883-1940), las de 1924 de 4 pages à H.

Bidou. Julien Berr de Turique (1853-1923), 2 cas. Walter Berteval, 2 las de 1931 à H. Bidou au sujet de sa pièce

« Jacob ». Amédée de Beauplan (1790-1853), las avec marques postales de 1845 au comte de Trogoff. Arthur

de Beauplan (1823-1890), las au sujet de « La Dame de Monsoreau », d’Alexandre Dumas. Bourgade Saint-

Amand, las de 8 pages à M. Brault concernant le désastre de leur collaboration littéraire. Charles Desnoyers de

Biéville (1814-1880), 2 las de 1838 et 1873. Jehan et Henri Bouvelet ; 2 las à H. Bidou, au sujet de leur comédie

lyrique. Henri Cain (1857-1937), las de 1907. Frédéric de Courcy (1795-1862), 4 las dont une au statuaire Pigalle.

Ernest Daudet (1837-1921), las à Melchissedec de 1888, émargée. Alexis Décomberousse (1793-1862), las de

1832 au sujet de sa première pièce, « Madame d’Egmont ». Pierre de Courcelle (1856-1926), las de 1900. René

Fauchois (Rouen, 1882-1962), 2 ls de 1924 à Albert-Jean au sujet de sa pièce. Roger Ferdinand (St-Lô, 1898-1967),

ls à Albert-Jean au sujet de sa pièce « Les Demoiselles de San Carlos ». Max Frantel, 2 las à H. Bidou au sujet de

ses pièces. Charles Gailly de Taurines (Charleville, 1857-1941), las de 4 pages de 1922 à H. Bidou. Charles-Pierre,

comte Gaspard de Pons (1798-1860), las de 1848 de 4 pages à l’administrateur de la Comédie Française. Paul

Giafferi, las de 1913 à en-tête du Gil Blas. Georges Grisier las de 1900 de l’Ambigu Comique. Charles d’Ivernois,

las au sujet du manuscrit de « Brune et Blonde ». Jean Marny, las. Antony Mars (Vence, 1861-1915), las. Raoul

Praxy (1891-1967), ls à Albert-Jean. André Rivollet, las à Yves Bonnat. Auguste Rondel (1858-1934), 3 las à H.

Bidou. Edouard Rouché, las de 1910. Saintine (1795-1865), las de 1854 à Virginie Ancelot. Albert Soubies (1840-

1918), las de 1910 à propos de son « Almanach des spectacles. Paul Spaak (Ixelles, 1876-1936), las de 1908 à

propos de sa première pièce « La Madone et la Dixième Journée ». Edmond Stoullig, 2 las. Roger Trebor, las de

1916. Gabriel Trarieux (1870-1940), 2 las et 1 cas. René Trintzius (Rouen, 1896,1953), 3 las de 1928 à H. Bidou au

sujet de sa pièce « Poudre d’or » à la Comédie Française.

400/500 €

196.

THIERS Louis Adolphe

[Marseille, 1797 - Saint-Germain-en-Laye, 1877], homme politique et historien français, président de la République.

Lettre signée, adressée au duc de Massa. Paris, le 30 avril 1836 ; 1 page in-4°. Il le félicite pour sa nomination de

Commandeur de la légion d’Honneur. «

J’ai l’honneur de vous faire connaître que le Roi, par ordonnance de

ce jour, vient de nous conférer le grade de Commandeur dans son ordre royal de la Légion d’Honneur.

[…]

Je

m’estime heureux d’avoir à vous féliciter sur cette faveur de Sa Majesté.

»

150/200 €

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