120
396.
vaucluse
. Plus de 115 lettres ou pièces, la plupart autographes signées et relatives au Vaucluse, XVIII
e
-début
XX
e
siècle.
300/400
Charles-Henri-Joseph-Palamède marquis de Forbin des Issarts (5), Gabriel-Joseph-Palamède marquis de Forbin des
Issarts (2), Henri marquis de Forbin des Issarts (6, plus 7 de sa femme, née Adélaïde de La Bastie), Odon comte de Forbin
des Issarts (6, plus 3 de sa femme, née Julie de Casal), Palamède comte de Forbin des Issarts (6), Eugène Guérin (3, comme
maire de Carpentras ou sénateur), Joseph-Bernard d’Inguimbert, Malachie d’Inguimbert (évêque de Carpentras), Émile
Larrieu, Emmanuel de Las Cases, Alphonse Mahul (6), André-Louis-Marie Tassin vicomte de Nonneville (3, comme préfet
du Vaucluse), Jean-Baptiste Perrin (à E. Falconnet), Gaston Pourquery de Boisserin (33), Guillaume Puy (9, comme maire
d’Avignon), Gosvin de Stassart (15, la plupart à Jullien de Paris, plus des vers impr.), Louis-François Sueur (5, archevêque
d’Avignon), la comtesse de Vernède de Corneillan ; plus 4 imprimés, dont
Les Crimes d’Avignon depuis les Cent Jours
de V.
Augier.
397.
vieux papier
. Environ 185 menus imprimés et illustrés, 1905-1938 ; formats divers (on joint qqs gravures et
vignettes et un menu de banquet).
150/200
Menus de dîners numérotés et datés de la société archéologique Le Vieux Papier, ornés de vignettes illustrant le sujet de la
« causerie » de la soirée.
398.
vieux papiers
. Plus de 400 vignettes, médaillons, cartes de visite, en-têtes, etc., XVII
e
-XX
e
siècle ; formats
divers, collés sur les feuilles d’un album.
200/250
Vignettes de piété ; cartes et cachets de commerce, de municipalités et d’administrations ; cartes de visite et cartes
commerciales ; vignettes ; gravures (notamment d’après Callot) ; etc.
399.
Eugène François Auguste d’Arnaud, baron de VITROLLES
(1774-1854) homme politique, ministre de Louis
XVIII. 28 L.A. ou L.A.S., Paris, 1823-1846, à Émile Daurand-Forgues (ou à sa mère Eugénie Forgues) ; 65 pages
in-4 ou in-8, la plupart avec adresse.
500/600
Correspondance avec son fils naturel, le futur « Old Nick », traducteur et critique littéraire, exécuteur testamentaire et
éditeur de Lamennais (1813-1883). Les lettres sont écrites de Florence, Vitrolles, Londres etc. Les premières lettres, affectueuses
et paternelles, s’adressent à l’enfant, élève au petit séminaire à Bordeaux (1823-1824), puis au « jeune bachelier » (1830) à qui il
parle volontiers de ses propres lectures, de la société qui a perdu ses croyances universelles, de la politique qui est « une science
sans axiomes, c’est-à-dire un
nihil nullum
» (31 mai 1833), et de la profession d’avocat à laquelle Émile se destine. Vitrolles
évoque allusivement, souvent par leurs initiales, de nombreuses relations ou d’affaires en Belgique, Allemagne ou ailleurs, dont
Daurand-Forgues est instruit : le marquis de Dampierre, ex-pair de France, le baron de Meyendorff, le prince Potemkin, le duc
de Wellington, les comtes de Forbin et de Saint-Aulaire, MM. A. Gordon, de Chasseloup, de La Croix, de La Haye, Beaussier,
Calot, Pozzo di Borgo, Willink, Mmes Ameihl, Perrey et Sturm, etc.
On joint un ensemble de 12 L.A.S. de son fils Guillaume ou son petit-fils, au même ou à son fils Eugène, qqs minutes de
réponse, et une L.A.S. de Pierre Magry, à propos des mémoires ou de la correspondance du baron de Vitrolles.