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L’auteur des
Mémorables
reprendra l’idée – et presque la formule – dans une chronique donnée aux
Nouvelles littéraires
du
30
mai
1931
: « à force d’écrire dans une vraie solitude, [Drieu] a commencé à donner l’impression d’aimer ce qu’il
entreprenait. Il l’aimait peut-être avant, mais cela se voyait moins.
Le Feu follet
, son dernier roman, qui est un adieu à toute
une jeunesse, marque à cet égard, sur ses précédents livres, un progrès de composition saisissant. »
Très bel exemplaire dans une agréable reliure d’Alain Devauchelle.
191 DRIEU LA ROCHELLE (Pierre). Journal d’un homme trompé.
Paris, Gallimard, 1934.
In-12, demi-maroquin noir
avec coins sertis d’un filet doré, tête dorée, non rogné, couverture et dos (
A. Devauchelle
)
.
800 / 1 000
Édition originale.
Un des
45
exemplaires de tête sur vélin pur fil.
Très bel exemplaire bien relié.
192 DRIEU LA ROCHELLE (Pierre). La Comédie de Charleroi.
Paris, Gallimard, 1934.
In-12, demi-maroquin noir avec
coins, tête dorée, non rogné, couverture et dos (
Bellevallée
)
.
800 / 1 000
Édition originale.
Un des
45
exemplaires de tête sur vélin pur fil, ici l’un des
20
hors commerce.
Envoi autographe signé à Andrée Ajalbert, l’épouse de Jean Ajalbert, mieux connue des gastronomes sous le
pseudonyme de Marie-Claude Finebouche.
Bel exemplaire, malgré d’infimes frottements sur les charnières et une pâle mouillure sur les premières gardes blanches.
Précieux envoi autographe signé de Drieu à Maurice Martin du Gard : « ce récit de la fin de la jeunesse ».
191
189