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279 FABRE (Jean-Antoine). Essai sur la théorie des torrens et des rivières, contenant les moyens les plus simples d’en
empecher les ravages, d’en rétrécir le lit & d’y faciliter la navigation, le hallage & la flottaison.
Paris, Bidault, an VI
– 1797.
In-4, demi-veau blond, dos lisse orné, tranches mouchetées
(Laurenchet).
400 / 500
Tourneux, III,
11960
.
Unique édition, peu commune, illustrée de
8
planches dépliantes.
Jean-Antoine Fabre (
1748
-
1834
), d’abord professeur de physique et de mathématiques à Aix, était entré en
1780
dans le
corps des Ponts et Chaussées, pour la généralité d’Aix, et reçut la direction du Canal des Alpilles destiné à fertiliser la plaine
de La Crau. Après la Terreur, dont il fut un fervent partisan, il se fit nommer ingénieur en chef des Ponts-et-Chaussées
dans le Var, avec résidence à Draguignan. Il prit sa retraite en
1812
, sans avoir cessé de travailler à divers ouvrages liés à la
maîtrise de l’eau (irrigations, machines hydrauliques, etc.).
Légères rousseurs.
280 FULTON (Robert). Recherches sur les moyens de perfectionner les canaux de navigation, et sur les nombreux
avantages de petits canaux, dont les bateaux auraient depuis deux jusqu’à cinq pieds de large, et pourraient contenir
une cargaison de deux à cinq tonneaux.
Paris, Dupain-Triel, an VII
[1799]. In-8, basane brune marbrée, filet à froid,
dos lisse orné
(Reliure de l’époque).
300 / 400
Première traduction française, par Récicourt.
Elle est illustrée de
7
planches dépliantes gravées par
Gaitte
, dont une carte de la région entre Guines et Ambletense.
L’ingénieur américain Robert Fulton (
1765
-
1815
) est considéré comme l’inventeur du bateau à vapeur. En
1797
, il partit
pour la France où il effectua un séjour qui dura jusqu'en
1807
, et il eut l'occasion d'effectuer sur la Seine de nombreuses
expériences non seulement sur les bateaux à vapeur (le premier à naviguer sur la Seine fut lancé le
9
août
1803
, en présence
de plusieurs membres de l'Institut), mais aussi sur des prototypes concluants de sous-marins (le
Natilus
, en 1880), qui
suscitèrent curieusement le scepticisme de Bonaparte et des autorités françaises sur leur possible utilisation contre la
Grande-Bretagne.
Coiffes abîmées.
281 GALLON (Jean-Gaffin). L’Art de convertir le cuivre rouge ou cuivre de rosette, en laiton ou cuivre jaune, au moyen
de la pierre calaminaire ; de le fondre en tables ; de le battre sous le martinet, & de le tirer à la filière. — [Suivi de :]
DUHAMEL DU MONCEAU. De la Fonte et de l’affinage du cuivre et du potin, à Villediœu-les-Poëles, en Normandie.
[Paris],
1764.
In-folio, broché, sous couverture d’attente muette, étiquette de titre surajoutée, tranches rouges.
300 / 400
Brunet, II,
618
-
619
.
Un des
113
cahiers qui forment la
Description des arts et métier
de l’Académie des Sciences, qui parut de
1761
à
1789
. Ils
contient
18
figures gravées sur
12
planches.
Feuillets débrochés.
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