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VI. DOCUMENTS HISTORIQUES EN DIVERS GENRES
PARTIE 2
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Louis-Auguste d’ALBERT d’AILLY duc de CHAULNES
. P. S. Certificat de congé daté du 20 octobre 1704, attribué
à Guillaume de Marzat, Escuyer
“pour aller vaquer à ses affaires, ce dernier ayant bien servit dans la campagne
d’Allemagne”.
Cachet de cire noire aux armes.
D’Albert d’Ailly duc de Chaulnes (1676-1744), Vidame d’Amiens (1692) fut Brigadier de Cavalerie de la Garde Ordinaire des
Armées du Roi, Sous Lieutenant de la Compagnie des Deux Cents Chevaux Légers, Commandant la Cornette, lieutenant de la
même Compagnie en 1704, Maréchal de Camp en 1708, Lieutenant Général de l’Armée d’Allemagne, Pair de France en 1711,
Maréchal de France en 1741.
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AMÉRIQUE.
GUERRE D’INDÉPENDANCE AMÉRICAINE. Bataille des Saintes contre la flotte anglaise en 1782.
Rapport du Conseil de Guerre de Lorient (1784).
Griefs sous forme de mémoire de 4 pages adressé par le Marquis de Vaudreuil (1724-1802) au Sieur François Hector d’Albert de
Rions, commandant Le Pluton, pour son incompétence lors de la bataille des Saintes du 12 avril 1782, contre la flotte anglaise.
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ARCHIVES COMMERCIALES.
CORRESPONDANCE COMMERCIALE D’UN MARCHAND INSTALLÉ A
BEZIER. LETTRES MANUSCRITES PROVENANT ESSENTIELLEMENT DE TOULOUSE.
DE 1850 à 1850.
Environ 200 à 300 lettres, formats divers. Bon état et lisibles.
Avec de très nombreuses marques postales (presque sur chaque lettre).
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ARMÉE DE Belgique - I
er
BATAILLON DE L’ALLIER –
COMPAGNIE DES GRENADIERS. P. S. par tous les
grenadiers du bataillon.
A Langerwche le premier février 1793, An II de la République Française
.
Certificat de bons
et loyaux services militaires attribué au Sieur Joseph Michel qui durant seize mois a servi la compagnie des grenadiers.
Attestation donnée à la suite de la victoire de Jemmapes (1792) lors de la conquête de la Belgique par Dumouriez.
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ARTILLERIE
– TEST SUR BATTERIES FLOTTANTES EN 1856 – POLYGONE DE BRASSCHAET EN
BELGIQUE. Mémoire manuscrit de 16 pages signé JP Mockel, capitaine du Génie.
Intéressant manuscrit de 16 pages, daté de Bruxelles le Ier juillet 1859, présenté par le capitaine Mockel aux officiers du Génie.
Ayant assisté aux expériences de 1856, il présente un mémoire très détaillé avec croquis pris sur les lieux, en complément d’un
rapport de l’Inspecteur Général de l’Artillerie de 1856.
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ATHENEE DE LA LANGUE FRANÇAISE. Jean François MICHEL (1753-1808).
Dossier d’une cinquantaine de
pièces manuscrites concernant ce membre de la Société Académique de Nancy (Lorraine).
Jean François Michel, enseignant, puis directeur d’école sous l’Empire décéda brutalement dans sa 55
e
année lors de la parution
de son ouvrage le
“Dictionnaire des expressions vicieuses utilisées dans un grand nombre de Départements et notamment dans
la ci-devant province de Lorraine”.
Documents relatifs à l’
“Athénée de la langue française”,
correspondance avec son éditeur M. Mornant. Archive personnelle avec
extrait de naissance, succession, papiers de famille, correspondances professionnelles et familiales, lettres autographes signées,
lettres de notables, de libraires, d’éditeurs, photo, diplôme signé par M. Valant homme de lettres et créateur de l’Athénée.
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AUREL.
L. A., datée du château des Enclos le 13 septembre 1932. Lettre manuscrite de 4 pages à un
“Monsieur et
Grand confrère”
(Italien d’après le contenu de la lettre).
J’ai beaucoup admiré la pénétration de votre critique de mon roman l’amour par lettres. J’ai eu beaucoup d’articles en France
mais pas un ne fut aussi juste et direct que le vôtre... Il me sera bien précieux de causer avec vous, dès que vous viendrez à
Paris... C’est Alfred Mortier le traducteur des Comédies de Buzzante, le poète, mon mari, qui m’a traduit votre superbe article...
Combien j’aimerais être lue et traduite chez vous
...”.
Dans les années 20-30, un salon littéraire était célèbre – jalousé par Rachilde, encensé par Cocteau, ou décrié par Léautaud. Son
instigatrice avait pour nom Mme Aurel. Née Aurélie de Faucamberge en 1869 à Cherbourg, veuve en premières noces du peintre
provençal Cyrille Besset, et épouse du dramaturge et poète Alfred Mortier. Dans son salon, au 20 rue du Printemps, les poètes
les plus célèbres défilèrent : J. Cocteau, Max Jacob, Lucie Delarue-Mardrus, Anna de Noailles, Apollinaire et bien d’autres
encore, jusqu’à sa mort en 1948.
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