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12.
APOLLINAIRE Guillaume. MAQUETTES AUTOGRAPHES POUR L’ÉDITEUR EUGÈNE FIGUIÈRE. Circa
1913 ; 3 pages in-8.
5 000/6 000
Trois pages de maquettes à l’encre de la main de Guillaume Apollinaire pour les ouvrages publiés par l’éditeur Eugène
Figuière dont Apollinaire était directeur de collection.
Dans ces maquettes sous forme d’annonces publicitaires figurent « Les Peintres Cubistes » d’Apollinaire,
« Du Cubisme » d’Albert Gleizes et Jean Metzinger, « Henri Rousseau » par W. Uhde, « Puvis de Chavannes » par
Maurice Raynal, et des publications à paraître comme : Rymsky Korsakoff par Blaise Cendrars, Honoré Daumier par
Max Jacob etc…
(quelques déchirures dans les marges, n’affectant pas le texte).
13.
ARAGON Louis. LE LIBERTINAGE. Paris, N.R.F., 1924. In-12 broché.
200/300
Edition originale.
Exemplaire du service de presse
DÉDICACÉ À
N
ICOLAS
B
EAUDOIN
et monogrammé par Louis Aragon.
BEAUDOIN Nicolas. AXA LE MAÎTRE DU MONDE. Paris, Povolozky, 1923. In-4 broché.
Edition originale limitée à 300 exemplaires numérotés.
ARAGON Louis. LES AVENTURES DE TÉLÉMAQUE. Paris, N.R.F., 1922. In-12 broché.
Edition originale illustrée en frontispice d’un portrait lithographié de Louis Aragon par Robert Delaunay.
(Quelques rousseurs).
14.
ARAGONLouis. LEMOUVEMENT PERPÉTUEL.Avec 2 dessins deMaxMorise. Paris, Gallimard, 1926. In-4 broché.
1 000/1 200
Edition originale.
U
N DES
170
EXEMPLAIRES SURVERGÉ D
’A
RCHES PORTANT SUR LE DEUXIÈME PLAT UNE CITATION D
’A
LFRED
J
ARRY DE LAMAIN DE
L
OUIS
A
RAGON
: «
Ce bruit de Bateau-Lavoir, l’école des tambours, papa, maman, derrière les haies comme on pisse. Alfred Jarry
. »
Mercredi 14 mai 2014 14h15
7
11.
[APOLLINAIRE Guillaume]. LA FRANCE
JUGÉE
À L’ÉTRANGER.
LA
VIE
ANECDOTIQUE. MANUSCRITAUTOGRAPHE
SIGNÉ. COPIE PAR MAURICE RAYNAL.
3 pages in-8. Fin juillet 1911.
6 000/8 000
Copie autographe à l’encre vraisemblablement
de la main de son ami Maurice Raynal, 3 pages
sur 3 feuillets, au verso de bulletins
d’abonnement de la revue « Le Festin d’Esope »
dirigée par Guillaume Apollinaire.
Le manuscrit est titré «
La France jugée à
l’étranger, Paris vu par un habitant de Chicago
»,
LES CORRECTIONS ET LA SIGNATURE SONT DE LA
MAIN DE
G
UILLAUME
A
POLLINAIRE
.
Sur ce document, figurent deux signatures de la
main d’Apollinaire : Lucile Dubois et Guillaume
Apollinaire, Lucile Dubois étant un des
pseudonymes d’Apollinaire.
Ce texte a été publié dans le numéro du 1
er
août
1911 de la revue Le Mercure de France.
«
Paris est une ville de cafés, il vous arrivera
souvent de côtoyer un pâté de maisons où les
cafés se succèdent sans interruption au
boulevard Montmartre, par exemple. Hiver,
comme été, les terrasses en sont bondées de
dégustateurs de café et d’eau sucrée… mais ce
qui attire au premier point l’attention du visiteur
à Paris, c’est la parisienne, la femme. Et même la
parisienne n’est pas authentique mais
généralement l’étrangère de Vienne, de Hongrie,
ou de quelque autre nation…
»
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