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291.
Marguerite MATISSE
(1895-1982) flle du peintre. 2 L.A.S., 1929-1932, à Jean-Émile Laboureur ; 1 page et quart obl.
in-4, et 1 page in-8.
120 / 150
17 avril 1929
 : elle n’a pu lui faire parvenir de notice pour le catalogue, « car il s’agit de planches lithographiques qui ne
sont qu’à l’état d’essais et dont je viens seulement de recevoir les acceptations de mon père. Quatre planches fgureront à
l’exposition […] j’y joindrai une peinture qui ne sera pas à vendre. Voici les titres des lithos à vendre : 1/
Persane
planche 100
– lithographie appartenant à M. Petiet. 2/
Nu au turban
Pl 105 - lithographie appartenant à M. Petiet. 3/
Jeune Indoue
Pl. 106 -
lithographie appartenant à M. Jacquart. Ces deux marchands doivent donner directement leurs prix. 4/
Indoue à la jupe de
toile
Pl. 107, appartenant à M. Bourgeat et Cie – cinq épreuves seulement seront à vendre au prix de 850 francs chacune »…
[13 mai 1932]
 : « Mon père n’ayant pas fait de gravures cette saison n’exposera pas à la prochaine manifestation des peintres
graveurs »…
292.
Luc-Albert MOREAU
(1882-1948). 8 L.A.S. et 6 cartes postales a.s., 1921-1943, à Jean-Émile Laboureur ; 8 pages
formats divers (dont une carte de visite), enveloppes, et 6 cartes postales illustrées.
250 / 300
1
er
janv. 1921
, remerciant pour sa charmante carte de vœux : « Je vais la “coucher sous verre” pour ne pas efeuiller sa
marguerite »…
28 mai 1924
, remerciant pour sa lettre explicative qui pourra lui servir à dénoncer une erreur…
4 janvier 1925
,
préparation d’une exposition : «Oui nous devons nous rencontrer et nous entendre au sujet de la publicité et des invitations ».
Segonzac n’exposera pas cette année… [
Janvier 1936 et 1938
], remerciements et félicitations pour ses cartes de bonne année :
« Quelle invention pour lui donner chaque année un nouveau visage »… Réunions, rendez-vous, vœux, etc.
On joint une L.A.S. à Mme Laboureur, 2 juillet 1943, condoléances : « Laboureur était un grand artiste dont le nom
brillera toujours plus, la gravure perd avec lui l’un de ses plus nobles représentants, c’était un Maître »…
293.
Chana ORLOFF
(1888-1968). L.A.S., 12 mars 1922, à Jean-Émile Laboureur ; 1 page et quart in-8.
150 / 200
« Je tiens à votre disposition votre double – en plâtre. Faut-il vous l’envoyer ? » Elle salue Mme Laboureur et le Colonel
« qui va bien tôt être Général ! », et l’invite au vernissage de son exposition chez Pavlotzky…
294.
Jules PASCIN
(1885-1930). 10 L.A.S., 1924-1925 et s.d., à Jean-Émile Laboureur ; 14 pages formats divers, une
enveloppe et 2 adresses.
800 / 1.000
Au sujet de l’exposition des Peintres-Graveurs indépendants : il répond aux convocations et invitations au dîner, et il
envoie des notices mais a parfois des difcultés à fournir les œuvres : « J’ai fait des tas des gravures, seulement, trop curieux
au commencement de voir le fonctionnement de ma presse, je ne mettais pas assez de temps pour le travaille de la gravure
même, mais j’aurais assez des planches pas trop ratées pour le 14 ». Une autre fois, il n’a pu tirer lui-même une planche « à
cause du format trop grand pour ma presse », et il doit renoncer à participer aux P.G.I. Il fait allusion à sa femme Hermine
David, qui lui a envoyé « de très jolis bois du midi »…
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