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GUAY - TROUIN (DU).
MEMoIRES DE MoNSIEUR
DU GUAY-TRoUIN, Lieutenant Général des armées
navales, Commandeur de l’ordre Royal & Militaire de
S. Louis.
AMSTERDAM, Pierre MORTIER, 1756.
Un
volume, in-12, de XXXVI pp., 371 pp., pleine reliure de
l’époque en veau moucheté. Dos à 5 nerfs cloisonné et
fleuronné portant une pièce de titre en maroquin rouge,
roulette dorée sur les coupes, tranches jaspées. Petites
rousseurs claires ou piqûres sur quelques feuillets seule-
ment. Cependant bel exemplaire, malgré une petite cou-
pure (sans manque) sur le plan de Rio.
300 / 500 €
Un portrait gravé et six planches dépliantes hors texte, dont un
plan de “la baye et de la ville de Rio de janeiro”.
Ces belles planches de marine représentent des combats navals
et la prise de Rio de janeiro en 1711 par Du Guay-Trouin, qui
persuadé de l’impossibilité de conserver la ville, l’évacua contre
une forte rançon.
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GUYON (Ch.).
VoYAGESAU PAYS DES TEMPÊTES.
PARIS, GEDALGE, s. d.
Deux parties réunies en un
volume, in-4, de 350 pp., demi-reliure éditeur en cha-
grin rouge. Dos à 5 nerfs cloisonné et fleuronné portant
le titre doré, plats habillés de percaline rouge et caisson-
nés à froid, tranches dorées. Bel exemplaire.
100 / 200 €
Illustration dans le texte.
A travers la Malaisie - Aventures océaniennes.
Portrait en frontispice, 10 planches renfermant 13 figures et une carte
dépliante hors texte.
Durant les cinq années de sa captivité, il va ainsi apprendre les
langues et les mœurs des Achantis et de leurs voisins. Les troupes
britanniques le libèrent en 1874. Il regagne alors la France où il tente
en vain de trouver un commanditaire pour reprendre son commerce
en Afrique. Reparti vers la Côte de l’or en 1875 pour le compte
d’une maison britannique, mais avec le soutien de la Société de
Géographie, il semet au service desAchantis à Koumassi et participe
avec eux à plusieurs expéditions contre des tribus voisines.
Il explore ainsi de nombreuses villes comme Atabobo ou Salaga
qu’il est le premier européen à atteindre et dont il fixe la position
exacte. Il explore aussi près de trois cents kilomètres du cours de la
Volta Blanche (1876) et devient en 1877 directeur d’une société
minière franco-anglaise. En compagnie de EdmondMusy, il exploite
ainsi avec succès les mines d’or de l’Ancobra.
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GROSCLAUDE (Étienne).
UN PARISIEN AMADA-
GASCAR. Aventures et impression de voyage.
PARIS,
HACHETTE, 1898.
Un fort volume, grand in-8, de XVI
pp., 368 pp., demi-reliure à coins de l’époque en basane
rouge. Dos à 5 nerfs portant seulement le titre doré, tête
dorée. Coins frottés.
120 / 220 €
ouvrage illustré de 138 gravures et complet de la grande carte
de Madagascar en couleurs reliée en fin du volume.
ouvrage sur Madagascar, qui sans se départir des vues courantes
pour l’époque et des clichés de la colonisation, livre un
témoignage très documenté. étienne Grosclaude (1858-1932)
humoriste et auteur, participe au journal ”La Grimace”. En 1896,
il s’embarque pour Madagascar où il reste deux ans. A son
retour, il intègre le Comité de Madagascar.
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