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histoire
duchesse. En
1797
, il s’installe chez le duc de
BRUNSWICK
à
Wolfenbuttel
d’où il entretient
son fils d’affaires pécunières et familiales,
décrivant en détail l’état de sa fortune (10
octobre 1798)...
On joint
une L.A.S. du duc de
CASTRIES
,
Bruxelles 21 janvier 1794, au duc d’H
ARCOURT,
recommandant M. d’Hamecourt qui se rend
en Angleterre pour ses affaires.
provenance
Archives du maréchal et du duc de Castries
(27 mars 2001, n° 17).
1325
CATHERINE II
(1729-1796) Impératrice
de Russie.
L.A.S. « Caterine », Krasnoïe 15 mai
1764, au maréchal comte
MUNNICH
;
demi-page in4.
1 000 / 1 200 €
Elle a reçu sa lettre du 14 mai : « Je suis bien
aise que vous soyés content, je la suis aussi.
Je me porte bien je m’en vais cet après diné
à Peterhof »…
1326
CATHERINE DE MÉDICIS
(1519-1589)
Reine de France.
L.S. « Caterine », Trédion 23 mai 1570,
à Raymond de FOURQUEVAULX,
ambassadeur en Espagne ; 1 page
in-fol. (léger manque de papier sans
toucher le texteet petite fente à un pli).
1 200 / 1 500 €
Catherine envoie cette lettre par MUSSET,
l’un des valets de chambre de Charles IX,
qui expliquera oralement à Fourquevaulx les
raisons de son voyage en Espagne. Pour sa
part, elle désire qu’il lui fasse « scavoir par
cedit porteur en quel estat et disposition se
trouve le Roy catholique monsieur mon bon
filz [PHILIPPE II] de la malladye duquel nous
avons eu quelques nouvelles icy, et aussy
comme se portent les petites Infantes mes
filles ne pouvant recepvoir plus daise que
dentendre de leurs bonnes nouvelles »... [Les
petites infantes sont Isabelle et Catherine,
filles de Philippe II et d’Élisabeth de Valois,
petites-filles de Catherine de Médicis. La
Reine mère séjournait alors au château de
Trédion, ancienne propriété des ducs de
Bretagne, où elle ne fut qu’une seule fois
deux semaines durant.]
1327
CHARLES VI
le Bien-Aimé
(1368-1422) Roi de France.
P.S.
« Charles », 30 janvier 1410 ; vélin
oblong in4 (10,5 x 31,5 cm), trace
de cachet (tache ; portrait gravé joint).
7 000 / 8 000 €
Rare pièce signée, concernant son
échanson
.
Ordre à Nicolas de
LA HEZE
, voyer et
receveur de Mantes, de payer cinquante
francs à « nostre bien amé eschançon le petit
Galois de
GUIRY »
, comme il le lui avait déjà
ordonné, « dont tu nas voullu ne veulx rien
faire dont il nous desplait ». Le Roi réitère
son ordre de payer les cinquante livres à
son échanson : « Car ou cas que de te seras
refusant nous lui avons donné congié et
licence de prendre sur toy chevaulx ou autres
biens jusques à ladite somme »…
provenance
Ancienne collection de FLERS, vente
Souverains et Princes de France
, 27 mars
2007, n° 11.
1327
Détail de la signature