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135 HUGO (Victor). Quatre-vingt-treize.
Paris, E. Testard, 1892.
In-4, demi-maroquin rouge avec coins, dos orné de
filets dorés et à froid et de fers de bonnets phrygiens dorés, tête dorée, couvertures et dos (
Yseux sc. de Thierry-
Simier
)
.
400 / 500
Édition ornée de vignettes, en-têtes et
5
compositions hors texte gravées à l’eau-forte d’après les dessins de
Gustave
Bourgain.
Tirage de luxe limité à
1
000
exemplaires numérotés, celui-ci un des
100
sur vélin à la forme contenant deux états des
eaux-fortes hors texte. Enrichi d’une double suite des eaux-fortes hors texte (en couleurs et pures) ainsi que d’une
double suite des vignettes.
On joint un portrait de Victor Hugo à l’eau-forte par
Frédéric Régamey
et un lavis original (
14
x
24
cm) de
Gustave
Bourgain
ayant servi pour l’en-tête du chapitre
Les Désespérés
à la p.
485
.
136 HUŸSMANS (Joris-Karl). La Bièvre. Les Gobelins. Saint-Séverin.
Paris, Société de propagation des livres d’art,
1901.
Petit in-4, broché.
200 / 300
Édition illustrée de
4
eaux-fortes originales hors texte et
30
bois gravés, par
Auguste Lepère
.
Tirage à
695
exemplaires, celui-ci un des
600
sur vélin.
137 HUŸSMANS (Joris-Karl). Les Sœurs Vatard.
Paris, Librairie des Amateurs, F. Ferroud 1909.
In-4, maroquin
bordeaux, multiples filets dorés d’encadrement, dos orné de même, filet sur les coupes,
doublure de maroquin bleu
nuit
avec un large encadrement de filets dorés et de jonquilles mosaïquées aux écoinçons, gardes de soie bordeaux,
tranches dorées, couverture et dos (
G. Mercier Sr de son père - 1911
)
.
2 000 / 3 000
Première édition illustrée avec
28
eaux-fortes dont
5
hors texte de
Jean-François Raffaëlli
.
Tirage à
250
exemplaires, celui-ci un des
20
sur japon comprenant
3
états des eaux-fortes et un fusain rehaussé inédit
signé par Raffaëlli (
14
x
14
cm).
Exemplaire enrichi d’un spécimen relié
in fine
et orné de
2
gravures. Dos très légèrement frotté.
On joint une carte autographe signée par Huÿsmans au sujet d’un article de critique d’art pour la revue de Catulle
Mendès, la République des Lettres, qui parut d’octobre
1875
à juin
1877
: « Merci et pardon de l’avoir gardé aussi
longtemps. L’article est terminé. Il est férocement taché de vermillon. Je le porterai demain chez Mendès (...) ».