18 16. NOUVEAU TESTAMENT (LE).À Paris, chez Saugrain, 1793-1798. 5 volumes, édition bilingue latine et française, maroquin grenat, dos lisses cloisonnés ornés de fers aux vases antiques dorés avec pièces de titres ; triple filet doré avec fleurons d'angles, filet ondé doré ornant les coupes, roulette intérieure dorée, tranches dorées ; traces d'étiquettes aux dos des 2 premiers volumes, coins frottés, quelques taches et mouillures parfois fortes (reliure de l'époque). 800 / 1.000 € I : (4 dont les 2e et 4e blanches)-327-(une blanche) pp. ; manquent 4 ff. liminaires paginés en chiffres romains. — II : (4 dont les 2e et 4e blanches)-207 pp. — III : (4 dont les 2e et 4e blanches)-345- (3 blanches) pp. — IV : (4 dont les 2e et 4e blanches)-263-(une blanche) pp. — V : (4 dont les 2e et 4e blanches)-349-(3 blanches) pp. TEXTEDELAVULGATE ET TRADUCTION FRANÇAISE PARISAACLEMAISTREDESACY: Évangiles selon saint Mathieu, saint Marc, saint Luc, saint Jean, et Actes des Apôtresqui forment le volume V publié cinq ans plus tard et qui manque souvent. Cette édition parut concuremment au format in-4. ILLUSTRATION GRAVÉE SUR CUIVRE D'APRÈS JEAN-MICHEL MOREAU, DIT MOREAU LE JEUNE : 112 planches hors texte (quelques-unes répétées) dont 4 titres (Cohen-De Ricci, col. 756, annonce erronément 25 planches au lieu de 24 dans le vol. III). 17. PENDULES. – Recueil de lithographies. 1830 et s.d. In-folio, toile usagée (reliure de l'époque). 1.000 / 1.500 € 92 planches lithographiées, de formats sensiblement différents, la plupart à double page et les plus grandes repliées, toutes montées sur onglets ; numérotation incomplète à l'encre ; quelques parties basses manquantes, quelques déchirures dont certaines restaurées à la bande adhésive au verso. SUITE DE MODÈLES DE PENDULES (88 planches), avec quelques modèles de lustres (2 planches), de candélabres et de patères (2 planches). Deux de ces pendules au moins ont été réalisées et ont figuré dans des ventes aux enchères récentes, l'une représentant Achille, l'autre le tsar Pierre le Grand. CATALOGUE À USAGE COMMERCIAL, PROBABLEMENT UNIQUE, POUR UN SCULPTEUR FONDEUR. Des œuvres ayant inspiré les artistes sont parfois indiquées dans les lithographies : un bronze conservé aux Tuileries ou un tableau d'Achille-Etna Michallon de la collection de Louis-Philippe Ier. Quelques mentions ont été ajoutées au crayon : prix, formats, « socle au choix», etc. Plusieurs artistes ont été employés, certaines planches étant signées dans la lithographie. L'un d'entre eux, Ferdinand Malenfant, est notamment connu pour des modèles destinés aux fabricants de bronze et pour avoir demandé un brevet d'imprimeur-lithographe afin de voir exécuter sous ses yeux les modèles de pendules qu'il dessinait (il exerça cette profession de 1835 à 1855). Les autres signatures livrent les noms de Jules Paullet, Jacquet, et « Ai ». Ces estampes ont été tirées chez des imprimeurs-lithographes différents : Godefroy Engelmann, Étienne Ardit, Joséphine-Clémence Formentin, Charlotte-Joséphine Sohier (« rue du Petit-Carreau, n. 19»), Victor Ratier et Jean Ligny.
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