141 S.d. Lettre relatant le travail d'écriture de son récit « XANTHIS », inspiré d'un poème de son recueil Aux Flancs du vase (1898), qui serait publié en 1902 dans le recueil posthume de ses Contes. Avec demande de suggestion pour une épigraphe. JOINT : GOURMONT(Remy de). Carte autographe signée ÀALBERT SAMAIN. 3 octobre 1893. « Remy de Gourmont à Albert Samain pour lui dire le plaisir infini trouvé à la lecture du JARDINDEL'INFANTE. En un mot, c'est un admirable volume de vers : Quillard a dit le reste et je contresigne son article... » — • QUILLARD (Pierre). Lettre autographe signée [ÀALBERTSAMAIN]. 12 septembre 1893. Belle déclaration admirative : « "une sympathie littéraire et qui désirerait éviter de devenir importune", ai-je écrit dans l'article que notre ami [Alfred] Vallette a bien voulu me laisser faire sur AU JARDIN DE L'INFANTE [dans le Mercure de France d'octobre 1893]. Je craindrais de vous offusquer en vous disant combien j'aime vos vers : voulezvous simplement me permettre de vous remercier pour la joie que j'ai prise à les lire & me regarder comme votre très fervent... » — RACHILDE(Marguerite Eymery, dite). Manuscrit autographe (3 pp. in-4 et 1 p. in8 oblong). Chronique (« Les romans ») pour le Mercure de France, consacrée aux CONTESD'ALBERT SAMAIN. 162. SUË(Eugène). 2 lettres autographes signées. 100 / 150 € À un directeur de presse. « Dimanche 15 avril » [1849]. Belle et longue lettre sur la publication polémique d'une de ses œuvres destinée à paraître ensuite chez Maurice Lachâtre, très probablement LES MYSTÈRES DU PEUPLE qui furent en butte à la censure. Eugène Sue évoque ici sa préface conçue comme « une sorte de paratonnerre », des suppressions à faire, des épreuves à recevoir. Il parle aussi de sa vie de travail et d'amertume dans ses montagnes. À Auguste Pittaud de Forges. 1852. Très belle lettre sur ses sentiments politiques, sur l'écriture d'un roman, sur la douleur de l'exil, sur son étroit logis près d'Annecy où il invite son correspondant à venir le retrouver. LE VAUDEVILLISTE AUGUSTE DE FORGES FUT UN DES PLUS PROCHES AMIS D'EUGÈNE SUE DEPUIS LEUR JEUNESSE : il débuta en littérature avec lui, et collabora même à l'écriture d'une pièce en 1829. 160
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