73 173 ESCOFFIER (Auguste). [Dîner d’Épicure. 1912]. Deux recettes signées et un portrait photographique. 300 / 400 Recette de la Dodine de Canard polycopiée sur un feuillet à en-tête du Carlton de Londres (dont il dirigeait les cuisines), signature autographe. Recette des Fraises Sarah Bernhardt polycopiée sur un feuillet 40,5 x 32,5 cm., signature autographe. On joint une photographie d’Escoffier, avec sa signature autographe au verso, et quelques coupures de presse. 174 ESCOFFIER (Auguste). Le Guide culinaire. Aide-mémoire de cuisine pratique. Paris, Flammarion, s.d. [1921]. In-8, toile grise, pièce de titre de maroquin vert (Reliure de l’époque). 500 / 600 Quatrième édition de ce grand classique. Envoi autographe signé d’Auguste Escoffier à Édouard de Pomiane, daté de Paris, décembre 1924. On joint une carte autographe signée d’Escoffier au même en date du 30 mai 1928. De la bibliothèque Édouard de Pomiane, avec son ex-libris manuscrit. Réparation pp. 823-824. 175 ESCOFFIER (Auguste). Ma cuisine. Paris, Flammarion, s.d. [1934]. In-8, percaline verte, jaquette illustrée, présenté dans une chemise à rabat, dos chagrin bordeaux, étui percaline bordeaux bordé de même. (Reliure de l’éditeur). 1 000 / 1 200 Édition originale. Le dernier ouvrage d’Auguste Escoffier (1846-1935) qui fut qualifié de « roi des cuisiniers et cuisinier des rois ». Il renferme 2500 recettes destinées aux maîtresses de maison. Envoi autographe signé d’Escoffier à Pierre Andrieu, daté de septembre 1934. Exemplaire enrichi de : – une lettre autographe signée d’Escoffier à Pierre Andrieu, 21 septembre 1934, 2 pp. in-8. Escoffier lui fait envoyer un exemplaire de Ma cuisine, et lui parle de sa santé chancelante dans un P.S. – une lettre autographe signée d’A. Escoffier à P. Andrieu, 24 octobre 1931, 1 p. 1/2 format in-12. – une carte-photographie avec dédicace au même (portrait demandé par Andrieu, qu’Escoffier lui fait parvenir comme indiqué dans sa lettre) – Un brouillon de lettre d’Édouard Nignon à A. Escoffier : …Je serai heureux lors de mon prochain voyage à Paris de vous serrer la main et de faire plus ample connaissance, n’êtes-vous cher Mr (mot raturé) l’emblème – princière (dans l’interligne) – la plus imposante de la gastronomie française… ; au dos : recettes de Choux de Bruxelles à la bourgeoise dactylographiée. Exemplaire particulièrement désirable venant de la bibliothèque de Pierre Andrieu, critique gastronomique et auteur de plusieurs livres, entre autres sur les vins de Bourgogne, auquel est joint un brouillon de lettre d’un autre monument de la gastronomie, Édouard Nignon.
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