ALDE. Paris. Livres de Gastronomie et Vin & Viticulture

45 131 [RUNDELL (Maria Eliza)]. A New System of Domestic Cookery; formed upon Principles of Economy: and adapted to the Use of Private Families. By a Lady. A New Edition, Corrected. London & Edinburgh, W. Wilson for John Murray, J. Harding and A. Constable & Co., 1807. In-12, basane racinée, dos lisse orné de filets dorés, pièce de titre maroquin rouge (Reliure ancienne). 100 / 120 Maria Eliza Rundell (1745-1828) est l’auteur de ce livre très populaire sur la cuisine, paru pour la première fois en 1806. Son succès fut tel que Murray en utilisa les droits comme caution lorsqu’il déménagea dans ses nouveaux locaux dans Albemarle Street en 1812. Bien complet des pp. 28*-29*, du frontispice et des 9 planches hors texte. De la bibliothèque Raymond Oliver, avec ex-libris. Reliure restaurée. Oxford 135 – Maggs Bros, Food and drink, 1937, n°339 – Bitting 583 (édition américaine). 132 RYTZ (Lina, née Dick). La Bonne cuisinière bourgeoise, ou Instruction à préparer de la meilleure manière les mets usités, soit dans la vie ordinaire, soit pour des occasions de fêtes, accompagnée d’un tableau représentant la manière d’arranger agréablement les plats sur la table. Traduit d’après la seconde édition allemande par G. de B. Berne, Ratzer, 1847. In-8 cartonnage papier vert marbré à la bradel, pièce de titre orangé (Reliure de l’époque). 100 / 120 Seconde édition très augmentée de ce rare livre suisse Ex-libris manuscrit : Stéphanie Ripport-Rouge. Nombreuses rousseurs. Vicaire, 764 (ne cite que la sixième édition de 1865). 133 SANCTORIUS (Santorio Santorio, dit) et Martin LISTER. De Statica medicina Aphorismorum Sectiones Septem cum commentario Martini Lister. Londres, G. Bowyer, 1716. In-12, veau brun janséniste, dos à nerfs (Reliure de l’époque). 100 / 120 Beau frontispice gravé sur cuivre montrant un homme placé sur une sorte de balance devant une table chargée de mets. Cette étrange machine inventée par Lister permet de manger le strict nécessaire. Sanctorius (1561-1636) enseignait à Padoue et était l’un des plus grands représentants de l’école d’athlétisme. Cet ouvrage est un classique sur le métabolisme, l’alimentation, etc. Il est accompagné du commentaire de Martin Lister (1638-1712), célèbre médecin ordinaire de la reine Anne, et traducteur d’Apicius. Ex-libris du Prof. Louis-Charles Deneux (1767-1846). Note de l’époque sur le contre-plat : « L.B. Guérard de La Quesnerie dono du Vervey. L’auteur de ce livre protestant est par conséquant ennemi du jeûne. Voyés page 86 » et, d’une autre main, « Quand le poulz est capillaire, c’est-à-dire délicat… 22 sept. 1749. » 134 VIANSI. Nouveau manuel complet du limonadier contenant la manière de préparer le café, le chocolat, le thé, les bavaroises, la limonade, le punch, les glaces et les sorbets. Paris, Au Dépôt des nouveaux manuels, s.d. In-16, demibasane verte, dos orné. 200 / 300 Frontispice gravé. Viansi était l’ancien glacier du Café Lemblin. Petit accroc à une coiffe. On joint : [SAINT BRIAC (Yvonne)]. L’Art de faire maigre. Paris, Ollendorff, 1887. [Et] : L’Art des sucreries. [v. 1897]. 2 volumes in-8 carré, demi-chagrin noir, dos ornés. Ensemble 3 volumes. 135 VIARD (André). Le Cuisinier royal. Paris, Barba, 1840. In-8, demi-basane fauve marbrée, filets dorés sur le dos (Reliure de l’époque). 100 / 120 Dix-septième édition complétée par Fouret et Délan et illustrée de 9 planches. On joint une lettre autographe signée d’André Viard à M. Ducray-Duménil, rédacteur des Petites Affiches, datée Paris, le 9 mars 1806, 1 p. in-8 : Monsieur, Je crois que le vers latin suivant dont Juvenal a fait presque tous les frais contient le mot de la charade latine de M. Saurin … André Viard, homme de bouche, auteur du Cuisinier Impérial. Vicaire 860.

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