ALDE. Paris. Livres de Gastronomie et Vin & Viticulture

22 51 ESCOFFIER (Auguste). Les Fleurs en cire. Paris, Bibliothèque de l’art culinaire, 1910. In-8, broché. 600 / 800 Seconde édition, en grande partie originale, de cet ouvrage recherché sur l’art des bouquets artificiels que les cuisiniers apprenaient autrefois à confectionner. La première édition date de 1885 ; elle est très rare. L’ouvrage est orné d’un portrait de l’auteur en frontispice et de la photographie du magnolia réalisé par lui pour l’Exposition culinaire de Londres de 1902. Illustrations dans le texte. Un des 250 exemplaires en grand papier, celui-ci un des 200 sur Hollande Van Gelder (n°122), signé par Escoffier. Oberlé, n°260. On joint : DURST (Henri). Nouveau traité sur les fleurs et les feuillages en cire. Lucerne, Keller, s.d. [v. 1911]. In-8, cartonnage de l’éditeur, dos toile noire. Première édition française, illustrée d’un frontispice et de 33 illustrations hors texte. Inconnu de Bitting, Cagle, Weiss. 52 ESCOFFIER (Auguste). Le Livre des menus. Paris, Imprimé par Grévin-Lagny, 1912. Grand in-8, demi-basane verte, dos orné. 300 / 400 Édition originale très rare, bien complète du tableau dépliant qui manque souvent. Coupes frottées, dos légèrement passé. 53 ESCOFFIER (Auguste). Aide-mémoire culinaire. Suivi d’une étude sur les vins français et étrangers à l’usage des cuisiniers, maîtres d’hôtels et garçons de restaurant. Paris, Flammarion, 1919. In-12, demi-chagrin noir (Reliure moderne). 200 / 300 Édition originale. Cachet de la Maison Dupont et Malgat. 54 ESCOFFIER (Auguste). Ensemble 2 ouvrages. 50 / 60 Le Riz. L’aliment le meilleur, le plus nutritif. 130 recettes pour l’accommoder. Paris, Flammarion, 1927. In-12 de 79pp., broché, couvertures jaunes imprimées en deux couleurs. Édition originale. La Vie à bon marché. La Morue. Paris, Flammarion, 1929. Édition originale. 55 ÉTIENNE. Traité de l’office. Paris, chez l’auteur et au Comptoir des Imprimeurs-unis, 1847. 2 volumes in-8, demi-basane fauve, dos lisses ornés de filets dorés et fleurons à froid (Reliure de l’époque). 80 / 100 Remise en vente de l’édition originale rare de ce traité complet sur l’office. La collation est identique à celle de l’édition originale de 1845-1846 et conforme à l’exemplaire décrit par Katherine Bitting : I). 4 ff., 50 pp. (hors d’œuvre), 111 pp. (compotes), 222 pp. et 2 planches (raffinage du sucre – petits fours), (2) pp. (Table). – II). 2 ff., iii pp., 40 pp. (conserves), 11 pp. (fruits confits), 19 pp. (café, chocolat, thé), 202 pp. (glaces), 222 pp., 5 planches (traité de l’office, Table, Supplément Petits fours), (1) f. d’errata. Étienne était un ancien officier de l’ambassade d’Angleterre et officier de la princesse de Bagration à Paris. Signature autographe de l’auteur au tome I. De la bibliothèque Raymond Oliver, avec ex-libris Rouvier de Vaulgran. Bitting, 147 – Vicaire, 347 (éd. de 1845). 56 [FACÉTIE]. La Maltote des cuisinières, ou la manière de bien ferrer la mule : dialogue entre une vieille cuisinière et une jeune servante. Rouen, J. F. Behourt, s.d. [Lyon, Imprimerie de L. Perrin, 1863]. In-8 de vi-19 pp., maroquin aubergine, dos à cinq nerfs richement orné, triple filet doré d’encadrement sur les plats, filet doré sur les coupes, dentelle dorée intérieure, tranches dorées (Capé). 100 / 120 Très rare réimpression publiée par Gustave Véricel. Tirage limité à 32 exemplaires non mis dans le commerce, celui-ci un des 5 sur papier de couleur (jonquille). Envoi autographe signé de Gustave Véricel au collectionneur Paul Desq (1816-1877). 57 FLEURY (Claude). Les Devoirs des maîtres et des domestiques. Paris, Pierre Aubouin, Pierre Emery, Charles Clouzier, 1688. In-12, veau fauve moucheté, dos à nerfs orné, tranches rouges (Reliure de l’époque). 200 / 300 Édition originale de cet ouvrage sur la tenue d’une maison noble au milieu du Grand Siècle. La première partie, plus courte, donne le règlement imposé par le prince de Conti, pour ses maîtres d’hôtels, cochers, postillons, etc. Dans la deuxième partie, un chapitre est consacré à l’intendant et un autre aux officiers de cuisine. Coins émoussés, une coiffe arasée, petites fentes aux mors.

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