ALDE. Paris. Bibliothèque du Château du C. et à divers.

44 116 [PETER II VON OLDENBURG]. [Fêtes données pour le mariage du prince le 10 février 1852]. Altenburg, Druck der Hofbuchdruckerei, 1852 ; 8 pièces en un portefeuille in-4, reliure de l’époque velours rouge, dos lisse orné de guirlandes dorées, encadrement de guirlande dorée sur les plats, armes réalisées à l’aide de perles sur le premier plat, M couronné sur le second, gardes à soufflets de tabis ivoire. 1 500 / 2 000 Très intéressant ensemble de documents réunis à l’occasion du mariage entre le Grand-Duc héritier d’Oldenbourg, le prince Nicolas-Frédéric-Pierre (futur Pierre II, 1827-1900, régnant dès février 1853) avec Elisabeth-Pauline-Alexandrine (18261896), troisième fille du duc Joseph de Saxe-Altenbourg. Le mariage eut lieu à Altenbourg le 10 février 1852 et les jours suivants, avant l’entrée solennelle des jeunes époux dans le Grand-Duché. Il s’agit essentiellement d’invitations et de programmes destinés aux invités des fêtes qui se déroulèrent d’abord à Altenburg et à Oldenburg. On y trouve notamment les noms de 162 invités, la description d’une retraite aux flambeaux, un «Chant d’adieu» destiné à la jeune princesse, des poésies de circonstance, etc. (détail sur demande). On joint un ruban de soie blanche supportant deux petites couronnes dorées et comportant deux distiques, probablement destiné aux invités. Spectaculaire exemplaire aux armes d’alliance brodées avec des perles de couleur. – Dos usé, couleur du velours un peu passée. 117 PÉTRONE. – François NODOT. Traduction entière, suivant le nouveau manuscrit trouvé à, Bellegrade… Cologne, Pierre Groth, 1694 ; 2 vol., reliures de l’époque maroquin rouge sombre, filets dorés sur les plats et armes dorées au centre, dos à nerfs ornés de caissons de filets dorés, tranches dorées. 400 / 600 Traduction entièrement nouvelle prétendument faite d’après des manuscrits inédits (complément au Satyricon) trouvés lors de la prise de Belgrade en 1688. François Nodot était fournisseur aux armées. Texte latin en italique, français en caractères romains. Les historiens de plusieurs académies se sont accordés pour considérer cette prétendue trouvaille comme une supercherie littéraire. Plaisantes reliures en maroquin aux armes non identifiées. – Quelques salissures aux plats inférieurs.

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