49 105. Paul DÉROULÈDE (1846-1914). 14 poèmes autographes ; 37 pages in-4. 600 / 800 € Manuscrits autographes de poèmes de ses débuts, la plupart de premier jet, avec de nombreuses corrections. Vive la France ! (« Oui France, on t’a vaincue, on t’a réduite même »... 1er décembre 1870). À la Belgique (« Salut ! petit coin de terre »....) À Mademoiselle Marie Royer, Sonnet (et quatrain). De profundis (« Tu l’as bien connu ! C’était un grand diable »....) Aux Étudiants qui ont voilé le drapeau Français à Liège (« Si vous l’aimez, enfants, cette mère patrie »... Décembre 1865). Silence, « À ma maîtresse Madeleine » (« La douleur a ses cris ; le plaisir a ses mots »... 15 nov. 1865). Sonnet (« Cette chanson d’amour va vous faire sourire »... 26 nov. 1863). L’ébauche, « à Jean Portaels » (« C’était avant la guerre et je t’aimais déjà »...). Soldats (« C’est depuis l’aube qu’on marche »... en trois versions ; Décembre 71). À Mr le Colonel de Vassard (« Les vigoureux chevaux traînant les lourdes pièces »...). À M. le Prince Orloff (« La Prusse et la Commune ont brûlé notre ville »...). Enthousiasme (« Le soleil est triste et neigeux »...). « À qui l’attend debout certes la Mort est belle »... Bazeilles (« Le blâme qui voudra, moi je l’aime ce prêtre »...). On joint 3 poèmes en copie: Chasseurs à pied ; « Les Turcos marchent deux à deux »... ; Arrière-garde. Ancienne collection Daniel Sickles (VIII, 3140).
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