101 avec elles, plus on s’aperçoit qu’il reste à apprendre. […] chaque jour mes incessantes recherches m’apportent de nouvelles idées, de nouveaux matériaux. L’entomologie expérimentale me prend donc tout le temps que le classique n’absorbe pas »… Puis il parle botanique, de son jardin et de ses cultures… – 28 juin. Il évoque son travail sur les coléoptères des environs d’Avignon : « pour ma part j’ai fait des recherches assidues sur les destructeurs des céréales et en particulier sur les petits longicornes que je voyais mentionnés dans les traités agricoles. Toutes mes recherches ont été vaines. Aucun de nous n’a mis la main sur ces ravageurs. Mon catalogue ne les mentionne pas et mes boîtes n’en contiennent aucun exemplaire. Il est donc à croire que ce longicorne n’exerce pas ses ravages dans ma région »… – 11 juillet. Au sujet de la Coronilla scorpioides… On joint la copie d’une lettre de Fabre à Ed. Bonnet (10 juillet 1881) concernant les cigales ; et une l.a.s. de Louis Charrasse (Beaumont d’Orange 4 février 1924) avc relation de la visite-hommage à Fabre des « Excursionnistes Marseillais » le 16 mai 1911, et de celle d’une délégation de l’École Normale d’Avignon le 5 juillet 1914.
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