533 402 531. DIVERS. Environ 150 lettres ou pièces, la plupart L.A.S., XIXe-début XXe s. 300 / 400 € F. d’Andigné, prince d’Annam, L. Archinard, J. Auffray, H. Barboux, L. Barthou, Baudry d’Asson, P. Bert, H. Brisson, O. de Broglie, P. Brouardel, J. Cambon, N. Casanova, P. Casimir-Périer, A. Charpentier, E. Clémentel, E. Constans, baron de Courcel, G. Delafosse, T. Delcassé, G. Deschamps, E. et P. Deschanel, L. Devin, M. Dieulafoy, J. Dodu, P. Dubois, E. Duvergier de Hauranne, A.H. Dyé, E. d’Eichthal, Eug. Étienne, duc de Feltre, duc de Fitz-James, J. Fabre, marquise de Falandre (9), A. Floquet, Franck-Chauveau, L. Gambetta, amiral Gervais, L. Grenier, A. Gréterin, H. Harduin, Haussonville, E. Hély d’Oissel, A. de La Forge, H. Lavertujon, R. Le Herissé, J.A. Lemire, gal Lespinasse, Lezay-Marnesia, St. Liégeard, card. Mathieu, Edm. Monson, E. de Montebello, A. de Morny, A. de Mun, V. Napoléon, A. Naquet, E. Naudot, mis Oudinot, R. d’Orléans, H. Paté, col. Pierre, R. Poincaré, Marie Ponsard, Dr Poyet, J. Roche, E. Roussel, J.S. Rovère, Marc Sangnier, Eug. Schneider, V. Séjour, P. Taittinger, Teisserenc de Bort, J. Timon, R. Viviani, etc. Plus des cartes de visite et doc. divers. 532. Alexandre Sergueievitch DOLGOROUKI (1841-1912) prince et maréchal russe. 8 L.A.S., SaintPetersbourg et Florence 1882-1889, au peintre-verrier Henri Babonneau ; 17 pages in-8, enveloppes ; en français. 200 / 250 € Au sujet de ses achats de vitraux anciens, français et italiens, et de leur restauration ; il a chargé son beau-père le comte Schouvaloff d’aller visiter Babonneau et de lui rendre compte de l’avancement des travaux ; il donne des consignes pour l’emballage et l’expédition des vitraux à Saint-Petersbourg, où il sera ravi de procurer à Babonneau de nouveaux clients… On joint un reçu signé par André Carbonnier pour la vente d’une collection de vitraux anciens par Babonneau (1901) 533. Affaire DREYFUS. 4 L.A.S., 1899-1906. 800 / 1 000 € Henri ROCHEFORT (1831-1913). 23 septembre 1899, au journaliste Henri Galli (2 pages in-8, une ligne coupée au bas de la première page). Après le procès de Rennes, que Rochefort a suivi depuis Aix-les-Bains : « Je croyais à l’acquittement et j’en étais malade. Aussi ai-je sauté joie en lisant le jugement […] Il faut croire que l’opinion est bien avec nous jamais l’Intransigeant ne s’est vendu autant que maintenant. Voilà que les torchons dreyfusards se mettent à insulter Galliffet. Ça va être très amusant. […] Nous sommes vainqueurs voilà l’essentiel, mais je vous prie de croire que j’en ai sué jusqu’au dernier moment»… Mathieu DREYFUS (1852-1930). Paris 7 décembre 1899, à M. Lyret (1 p. in-8), lui adressant la lettre d’Esterhazy
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