ADER Nordmann. Paris. COLLECTION BRIGITTE ET ROLAND BROCA.

334 4e tableau (2 feuillets), qui n’est qu’une didascalie : « C’est la chambre avec le lit. Même lustre. Mais quatre miroirs, où se réfléchissent le lit et le petit vieux qui est au milieu de la pièce. […] Le visage du petit vieux s’illumine. La fille rousse a un air altier et cruel. Le petit vieux sort de sa poche un petit bouquet de fleurs artificielles. Il le tient comme s’il allait l’offrir à la fille qui le cravache, et le lui arrache d’un coup de martinet. Le visage du petit vieux est illuminé de bonheur». 5e tableau (28 feuillets). « La chambre de la Passionaria. Très élégante. Grandes guipures qui tombent du plafond. Même lustre. Quelques fauteuils. Poufs. Canapés. Bibelots dorés. La passionaria est déjà dans sa chambre. Elle fait ses comptes. (à côté d’elle, une fille) ». Ce tableau met en scène la Passionaria et la Fille (qui sera plus loin nommée Carmen) ; il commence par la réplique de la Fille : « Deux mille de l’Évêque… Deux mille du Juge, deux du Général, et deux du bébé ». Plus tard, entreront en scène le Bourreau (plus tard nommé Arthur), puis le Chef de la Police, qui prononcera la dernière réplique : « J’espère que non ». [6e tableau] (7 feuillets). « La rue (au loin le G. B.) » ; en marge, l’indication : « Chantal. Roger. 5 femmes. 10 hommes ». Le tableau met en scène Roger et Henry (ou Henri), puis un homme, Chantal, un des hommes ; au début, Roger s’adresse à Henry : « Qu’est-ce que tu fais, toi ? ». Le tableau s’achève sur cette réplique de Chantal : « Tu le feras, on .../...

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