ADER Nordmann. Paris. COLLECTION BRIGITTE ET ROLAND BROCA.

417 416 323 417. Jean COCTEAU (1889-1963). Dessin original à la plume ; 27 x 21 cm. 3 000 / 4 000 € Garçon nu tenant une cigarette près de son sexe. 11 mars 1961. Fait commandeur de la Légion d’honneur, croulant sous le flot des félicitations, il demande à Lazareff s’il peut « leur dire ma gratitude par l’entremise de France-Soir ». – 10 mai : de Marbella, il prie Lazareff de rétablir la vérité au sujet de la pièce Cher Menteur de Jérôme Kilby, dont il n’est que l’adaptateur : « En vérité, les auteurs véritables en France sont Maria Casarès et Pierre Brasseur, car on a l’impression qu’ils improvisent »… 16 juin 1963 : il est en convalescence chez Jean Marais, mais des journalistes étaient venus le voir : « Je n’étais pas encore capable de “paroles” et Match m’avait photographié au vol, entre le Palais-Royal et Jeannot » ; il embrasse Pierre et Hélène Lazareff « de tout ce pauvre cœur en désordre»… Etc. On joint 2 L.A.S. à Hervé Mille, de France-Soir : – [31 décembre 1951], à propos de la polémique Cocteau-Mauriac sur la pièce Bacchus (article de Cocteau Je t’accuse… Lettre ouverte à François Mauriac joint) ; – 28 novembre 1953, sur la mort d’Henry Bernstein : « Le théâtre “littéraire” l’a tué […] Ses triomphes furent le triomphe de l’anecdote et du fait divers dramatique »…

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