292 230 290. Émile ZOLA. L.A.S., Médan 18 avril 1900 ; 2 pages in-8. 400 / 500 € Il est « à la campagne, un peu souffrant, et je crois que le mieux est que vous portiez tout de suite votre manuscrit à Fasquelle. Vous le trouverez le matin vers onze heures […] Expliquez-lui simplement votre cas, il vous lira et prendra une décision. Je ne vous promets pas de lui faire prendre votre œuvre, car je n’ai jamais pesé sur la conscience de personne. Mais je vous assure que votre œuvre sera examinée avec soin, et que, s’il la refuse, il vous dira pourquoi »… 291. Émile ZOLA. L.A.S., Médan 30 juin 1901, à Jules Claretie ; 1 page et demie in-8. 500 / 600 € Il lui recommande « un de vos justiciables, M. Pierre Bouthors, qui va concourir pour le prix de comédie, le 24 juillet. L’année dernière, il a obtenu un deuxième accessit ; et il s’agit pour lui, cette année, la dernière, de vaincre, en obtenant une récompense plus haute. Je lui trouve du talent, et j’ai voulu simplement appeler sur lui votre bienveillante attention. Sans doute, le mérite l’emporte toujours ; mais il n’est pas mauvais d’aider la fortune. Enfin, je vous sais plein de bienveillance dans votre équité »... On joint une L.A.S., 8 juin 1901, concernant une recommandation pour un emploi auprès de Charles Rolland (1 p. in-8). 292. Émile ZOLA. L.A.S., Médan 27 septembre 1902, au directeur du journal Le Radical ; 1 page in-8. 500 / 600 € Deux jours avant sa mort. Il prie de lui adresser Le Radical, « à partir du numéro qui paraîtra le lundi matin 29 sept., […] à Paris, rue de Bruxelles, 21 bis »… [C’est dans cet appartement parisien que Zola est mort le 29 septembre.] On joint une L.A.S., Paris 4 février 1902, refusant de se joindre à une souscription (1 p. in-8).
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