261 209 31 janvier 1890, au duc d’Aumale. « Monseigneur, Candidat à l’Académie française, je serais très heureux si votre Altesse avait l’extrême bonté de me faire dire le jour où je pourrais me permettre de lui rendre la visite traditionnelle, sans craindre de l’importuner »… 15 mars 1890, à Mgr Adolphe Perraud : « Candidat à l’Académie française, j’aurais vivement désiré avoir le grand honneur de vous rendre la visite traditionnelle. Mais, bien que j’espère encore remplir ce devoir, je tiens, dans le cas où votre absence de Paris m’empêcherait de le faire, à vous exprimer ici toute ma déférence »... 5 mai 1890, à Camille Doucet, secrétaire perpétuel (avec enveloppe) : « L’élection du 1er mai n’ayant pas eu de résultat, je vous prie de vouloir bien faire connaître à l’Académie française que je maintiens ma candidature au fauteuil d’Émile Augier »... 10 mai 1891, au duc d’Aumale : « Candidat au fauteuil d’Octave Feuillet, j’aurais avant tout désiré vous porter mon hommage. Mais l’absence de Votre Altesse m’empêche, à mon vif regret, de remplir ce devoir, et je ne puis que lui envoyer l’expression de ma profonde déférence»… [Début 1896], au secrétaire perpétuel Gaston Boissier (3 versions successives), le priant de faire savoir à l’Académie « que je retire ma candidature au fauteuil de M. Ferdinand de Lesseps et que je la pose à l’unique fauteuil de M. Alexandre Dumas. Ce serait pour moi un grand honneur que de succéder à un illustre écrivain qui a bien voulu m’aimer un peu et me défendre, malgré d’anciennes batailles littéraires »… On joint 9 L.A.S. d’académiciens à Zola, au sujet de ses visites et candidatures : Ferdinand Brunetière, François Coppée (5), Alexandre Dumas fils, Octave Feuillet, Ludovic Halévy. Plus un carton d’invitation à déjeuner à Chantilly de la part du duc d’Aumale.
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