229 227 193 228. Émile ZOLA. L.A.S., 23 juin 1866, [à Bernard-Henri Gausseron] ; 1 page in-8. 400 / 500 € Il était à la campagne, et vient de prendre connaissance de sa lettre. Il est à sa disposition lundi matin « aux bureaux de l’Événement […] Je serai très heureux d’avoir des nouvelles de M. [Xavier] Eyma et très heureux d’être utile à quelqu’un qui s’adresse à moi en son nom»… On joint une L.A.S. à l’avocat Eugène Penin, [1869] (2 p. in-8, nom et en-tête du destinataire soigneusement cancellés), à un homme de loi, concernant l’affaire de M. Cholet et souhaitant que l’opposition soit levée avant la fin du mois ; il donne son adresse « 14, rue la Condamine, Batignolles ». 229. Émile ZOLA. L.A.S., Paris 6 juin 1867, à Jules Richard ; 1 page in-8. 400 / 500 € Il envoie au journaliste « deux publications que je recommande à votre bonne âme. « Quelques lignes, s’il vous plaît, dans une de vos premières chroniques de La Situation. Je vous abandonne la brochure [Édouard Manet]. Dites-moi la vérité, la simple vérité, votre vérité à vous. Mais pitié pour les Mystères de Marseille. Je sais que l’œuvre est mauvaise. Vous ne m’apprendriez rien, vous ne me corrigeriez pas en me disant de grosses vérités en public ; et vous feriez du tort au pauvre journal de province qui publie en ce moment les autres parties du roman. Soyez doux, je vous prie, et, s’il est possible, mettez en toutes lettres que les Mystères paraissent dans le Messager de Provence, à Marseille. Ce n’est pas pour moi que je vous demande cela, ce n’est pas non plus pour ma famille, c’est pour mon Directeur »... Il donne son adresse « 1, rue Moncey, Batignolles ».
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