75 Livres modernes 717 CÉLINE (Louis-Ferdinand). L’École des cadavres. Paris : Denoël, [1938]. — In-8, 205 x 138 : 305 pp., (1 f. blanc), 2 planches, couverture imprimée. Maroquin rouge, dos à nerfs orné de filets dorés, tête dorée, couverture et dos conservés (reliure de l’époque). 500 / 700 € Autre exemplaire. Un des 100 exemplaires sur pur fil Lafuma, celui-ci faisant partie des 75 mis dans le commerce, portant le numéro 108. Exemplaire en reliure amateur. La peau, mal parée, est gondolée par endroits. Quelques rares piqûres. 718 CÉLINE (Louis-Ferdinand). L’École des cadavres. Paris : Denoël, [1938]. — In-8, 216 x 142 : 305 pp., (1 f. blanc), 2 planches, couverture imprimée. Broché, chemise et étui. 300 / 400 € Autre exemplaire. Un des 430 exemplaires sur alfa mousse, celui-ci faisant partie des 400 mis dans le commerce (n° 357). Exemplaire broché, très bien conservé. La chemise et l’étui ne sont pas ceux faits pour cet exemplaire puisque le dos de la chemise indique « vélin pur fil ». Rousseurs éparses. 719 CÉLINE (Louis-Ferdinand). Les Beaux draps. Paris : Nouvelles éditions françaises, [1941]. — In-8, 186 x 117 : 22 pp., (1 f.), couverture imprimée. Broché, couverture rempliée, chemise à bandes à recouvrement de chagrin rouge, étui. 800 / 1 200 € Dauphin & Fouché, 41A1. Édition originale du troisième pamphlet de Céline, qui fera l’objet d’une décision du ministère de l’Intérieur en zone non occupée. UN DES 60 PREMIERS EXEMPLAIRES SUR VERGÉ D’ARCHES, celui-ci faisant partie des 10 hors commerce (n°X). Exemplaire très bien conservé malgré le dos légèrement bruni et quelques rousseurs éparses. Il est complet du signet avec le numéro, qui a en partie déteint sur le premier feuillet blanc. 720 CÉLINE (Louis-Ferdinand). Guignol’s band. Roman. Paris : Denoël, [1944]. — In-16, 189 x 127 : frontispice, 348 pp., (2 ff. dernier blanc), couverture imprimée. Broché, chemise et étui. 600 / 800 € Dauphin & Fouché, 44A1. Édition originale du troisième roman de Céline, racontant les pérégrinations de Ferdinand Bardamu à Londres en 1915-1916, où l’amertume et le burlesque s’équilibrent. S’inscrivant dans le sillage de Mort à crédit, il forme une sorte de charnière dans l’œuvre de l’auteur, annonçant les ouvrages ultérieurs. Il ne constitue qu’une partie d’un roman plus ample dont la suite ne paraîtra de façon posthume qu’en 1964 sous le titre Le Pont de Londres. Un des 60 exemplaires sur vélin d’Arches, celui-ci faisant partie des 50 mis dans le commerce (n° 32), second papier après 15 exemplaires sur Hollande. Il est bien complet de la photographie dépliante en frontispice, qui ne figure que dans les exemplaires sur grand papier. Exemplaire très bien conservé.
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