|
|
|
|
|
|
Un Lien vers un site : MODE DE BIJOUX (Bijoux-cailloux-chouettes)
Château de
Kergrist, 22300 en Ploubezre
(Côtes-d'Armor).Tel (33) 02 96 38 91
44. Fax : (33) 02 96 38 89 49. Bureau :
Président d'honneur André Charamant,
Président Régis Huon de Penanster,
trésorier Christian de Bélizal,
secrétaire Vincent Huon de Penanster,
archiviste Hervé de
Bélizal. Cotisation
annuelle :
15,24 euros 100,
FRF
Le musée où l'on pôurra admirer des numéros des Editions Montsouris. Le château actuel fut construit vers 1537 par Jean De Kergrist, le jardin se visite de même qu'une aile du château. Tel : (33) 02 96 38 91 44.
|
Edition de littérature populaire. Collection STELLA. |
C'est en janvier 1880,
que Charles Huon de Penanster (1832-1901),
rachète un journal déficitaire et
l'appelle "Le Petit Echo de la Mode". Son but
est d'aider les familles dans leur vie quotidienne.
En 1900, le tirage du journal monte à 300
000 exemplaires. Il est son propre imprimeur. En
1901, l'entreprise achète à
Paris
XlVe, rue
Gazan, face au parc Montsouris, un terrain de 4000
m2 pour bâtir siège social et
imprimerie.
Charles-Albert
(1871-1923), fils du fondateur, crée
"Rustica", et Bâtit ( après 1920 )
à Chatelaudren, Côtes d'Armor, une
imprimerie qui
tire des livrets brochés, des romans
populaires pour dames ( collection Stella ), pour
adolescents ( collections Printemps. Pierrot et
Lisette ) et des extraits de textes
littéraires ( collection Dauphine
). Son
fils Charles-Marie (1904-1972) crée des
publications pour la jeunesse et développe
"Le Petit Echo de la Mode" et lui fait traverser la
guerre. En 1940, pour échapper aux
pressions de l'occupant, la Société
anonyme du "Le Petit Echo de la Mode" prend le nom
d'Editions de Montsouris. Après la guerre,
le tirage hebdomadaire augmente jusqu'à 1,6
million. En octobre 1968 avec l'introduction de la
publicité à la
télévision, les annonceurs
déplacent leurs budjets vers le nouveau
média, ce qui porte un coup mortel aux
Editions de Montsouris. Pierre Beytout, en 1970,
devenu président, cède les principaux
journaux à des repreneurs, qui ne
réussirons pas à redresser les
Editions. Aujourd'hui en 2001, la S.A. existe
encore juridiquement. Elle n'a plus
d'activité ni de salarié. Mais
ses collections témoignent d'une belle
histoire. |